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2240. (1825) Racine et Shaskpeare, n° II pp. -103

On espère que cet article sera travaillé avec un soin particulier ; car, par un hasard qui n’a rien d’étonnant, ce morceau de douze lignes sera le premier ouvrage de ces trois hommes de lettres.

2241. (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1891 » pp. 197-291

Il a dans le récit un comique froid, particulier et assez désarçonnant pour les interrogations ingénues, et comme il déclarait qu’au fond les prisonniers n’avaient pas eu à se plaindre des Allemands, et qu’une dame, qui se trouvait là, lui disait : « — Alors on a été très aimable avec vous ?

2242. (1894) La bataille littéraire. Sixième série (1891-1892) pp. 1-368

Bourget a subi et nous transmet les charmes de l’Italie, ce charme particulier et que n’ont point les autres pays où le visiteur français est obligé d’aller au-devant des impressions et des émotions, tandis qu’ici elles semblent toutes venir spontanément à lui. […] Gustave Toudouze, dont chaque production témoigne d’un nouvel effort : Le Vertige de l’inconnu est en même temps qu’un roman, l’étude d’un état particulier du cerveau humain, d’une passion qui, poussée plus loin que ne le permet la science, confine à la folie.

2243. (1924) Souvenirs de la vie littéraire. Nouvelle édition augmentée d’une préface-réponse

Ce don particulier de sentir le malheur et la misère lui a inspiré l’idée d’un personnage où il s’est peint lui-même inconsciemment, le père Joyeuse, du Nabab, l’évocateur pessimiste, qui croit toujours ses filles en danger.‌ […] Il avait gardé de son séjour en Allemagne un goût particulier pour certains écrivains, comme Hartmann et Schopenhauer, qu’il connaissait bien, non seulement le Schopenhauer essayiste, élève de Chamfort, mais le personnel et sombre théoricien de la volonté dans le monde.‌ […] Je dois un souvenir tout particulier à Charles Guérin, qui s’est assis tant de fois à notre table avec Moréas.

2244. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre V. Swift. » pp. 2-82

Avec une gravité médicale, il établit que de tout le corps s’exhalent des vapeurs, lesquelles, arrivant au cerveau, le laissent sain si elles sont peu abondantes, mais l’exaltent si elles regorgent ; que, dans le premier cas, elles font des particuliers paisibles, et dans le second de grands politiques, des fondateurs de religions et de profonds philosophes, c’est-à-dire des fous, en sorte que la folie est la source de tout le génie humain et de toutes les institutions de l’univers.

2245. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — chapitre VI. Les romanciers. » pp. 83-171

Vous le verrez saluer un archevêque avec une vénération particulière.

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