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1803. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Saint-Arnaud. Ses lettres publiées par sa famille, et autres lettres inédites » pp. 412-452

Je ne suis ni usé, ni coulé comme tant d’autres ; je suis jaloux de ne pas perdre cette rare et précieuse virginité. » Parti de France depuis avril 1848, il ne connaissait nullement le prince président.

1804. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DE LA MÉDÉE D’APOLLONIUS. » pp. 359-406

Elle se figurait encore qu’elle-même en venait aux prises avec les taureaux, et triomphait de l’épreuve aisément ; mais que ses parents refusaient de tenir leur promesse, parce que ce n’était pas à la jeune fille, mais à lui-même, qu’ils avaient imposé la condition de les dompter ; que de là s’élevait un grand conflit entre son père et les étrangers ; que les deux partis s’en remettaient à elle comme arbitre, pour qu’il en fût selon que son cœur en déciderait ; et qu’elle tout d’un coup, sans plus se soucier de ses parents, faisait choix de l’étranger ; qu’alors ils étaient saisis d’une immense douleur, et qu’ils s’écriaient de colère.

1805. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE LA FAYETTE » pp. 249-287

Cousin en a, depuis, tiré parti avec bonheur, et aussi, selon son habitude, avec fanfare.

1806. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « M. Ampère »

Parti pour sa tournée d’inspecteur général, il se trouva malade dès Roanne ; sa poitrine, sept ans auparavant, apaisée par l’air du Midi, s’irritait cette fois davantage : il voulut continuer.

1807. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Charles Nodier »

Il dut fuir encore, comme plus ou moins enveloppé dans la grande machination dénoncée par Méhée sous le nom d’alliance des jacobins et des royalistes : il était en danger de passer pour un trait-d’union des deux partis.

1808. (1860) Cours familier de littérature. X « LVIe entretien. L’Arioste (2e partie) » pp. 81-160

Je partis en pleine nuit, une nuit d’été en Italie, accompagné par un vieux paysan de la ferme ; il portait ma valise et il devait me servir de guide jusqu’à la mer, pour aller m’embarquer sur une felouque d’Ancône qui faisait le cabotage sur le littoral des États romains.

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