Cet insensé était le page du maréchal de Damville, ce jeune du Chatelard, resté, comme on l’a vu, à Holyrood pour y entretenir par correspondance son maître de tout ce qui touchait la reine, son idole. […] Un page favori nommé Taylos couchait seul dans la chambre de Darnley. La reine vient l’y visiter avec les mêmes démonstrations de tendresse qu’à Glascow, mais elle refuse de l’habiter encore avec lui ; il s’étonne de cet isolement, s’attriste, prie et pleure avec son page. […] on l’ignore ; ce qu’on sait seulement, c’est qu’une explosion terrible, entendue avant le crépuscule du matin à Holyrood et à Édimbourg, avait fait sauter la maison dont les débris devaient recouvrir la victime ; mais que, par un étrange oubli des assassins, les deux cadavres de Darnley et du page, au lieu de se retrouver sous les décombres, se retrouvèrent le lendemain dans un verger attenant au jardin, portant sur leurs corps non les marques de la poudre, mais les marques de la lutte et de la strangulation. On supposa que le roi et son page, entendant, au commencement de la nuit, les pas des sicaires, étaient descendus au jardin, avaient voulu fuir par le verger, et, poursuivis et étranglés par les bourreaux de Bothwell, avaient été laissés sur la scène du meurtre, par négligence ou par ignorance de l’explosion qui devait les engloutir eux-mêmes avec leurs victimes ; on ajoute que Bothwell, croyant les cadavres de Darnley et du page dans la maison, avait fait allumer inutilement la mine pour tout ensevelir dans ce cratère, qu’il était rentré à Holyrood après l’explosion, croyant qu’il ne restait aucun vestige de meurtre et qu’on attribuerait tout à un amas de poudre involontairement allumé par l’imprudence du roi.
D’ailleurs, si mon admiration est restée aussi enthousiaste pour les premières œuvres de Wagner, je dois avouer qui, tout en m’inclinant devant les pages sublimes de la Tétralogie, je fais à l’égard de cette dernière conception d’assez sérieuses réserves. […] … » et la signature « Gallus », la France du 10 avril publiait en première page le court article suivant : « … Wagner vient. […] 12 avril, le Figaro : article en première page de M. de Bonnières. […] Cinq pages d’analyse. […] L’Indépendance Musicale, qui paraît depuis peu de temps fournit en chaque numéro des pages précises et hardies sur les questions musicales actuelles.
Les pages de Sanuto sont plus dramatiques à coup sûr que le poème de M. […] Est-il probable qu’il se soit contenté de quelques pages de Robertson ou de Strada ? […] Le tombeau du poète n’obtient pas grâce pour le berceau de sa muse. » On lisait dans les pages de 1819 cette phrase-ci, qui ne se retrouve point dans les pages de 1834. […] Or, dans l’exemplaire que j’ai sous les yeux, les pages sur André Chénier sont signées d’un E. […] N’est-il pas permis de craindre que ces pages n’aient été insérées par étourderie dans les volumes de 1834 ?
On la trouvera dans l’édition Conard, pages 348-356. […] Dans dernières pages de la Ville (seconde version), M. […] Il y a là trente ou quarante pages, les plus belles qu’ait signées M. […] Il y en a qui tiennent des pages entières ! […] Ces deux ou trois cents dernières pages font figure de simple épilogue.
Géruzez que six lignes, aurait certainement six pages. […] Ces pages que M. […] Nous allons citer une page qui est un feu roulant de blasphèmes. […] Flaubert rencontrera des pages tout imprégnées de douceur et d’intimité. […] Quiconque n’écrira pas au bas de chaque page de Regnard : charmant !
Il voudrait mettre « tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase et cette phrase dans un mot ». […] Mais que de pages extraordinaires ! […] À propos de ce peintre il y a, dans À rebours, quelques-unes des plus belles pages que M. […] Tous ceux que je nomme je leur fais honneur, comme j’estime qu’ils honorent, tous, ces pages. […] Quant à ma pensée personnelle, elle est dans les pages qui seront lues les dernières.