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3009. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre IV. Addison. »

Telle est la culture que ces ouvrages ont donnée à Addison ; peu importe qu’ils soient médiocres. […] On dit, à la vérité, qu’un jour il lui fit une déchirure dans son pourpoint couleur de chair, mais c’était seulement pour se procurer de l’ouvrage et en sa qualité particulière de tailleur… Le lion qui joue à présent est, à ce que j’apprends, un gentleman de province qui fait cela pour son amusement, mais souhaite que son nom reste caché.

3010. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre I. Le Roman. Dickens. »

Si vos personnages donnent de meilleurs exemples, vos ouvrages seront de moindre prix. […] En pliant sa serviette, il s’élèvera à des contemplations grandioses : « L’économie de la digestion, dira-t-il, à ce que m’ont appris certains anatomistes de mes amis, est un des plus merveilleux ouvrages de la nature.

3011. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIe entretien. Épopée. Homère. — L’Iliade » pp. 65-160

Le vrai commentaire du génie, c’est son ouvrage. […] Surveille les ouvrages de tes suivantes !

3012. (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLIXe Entretien. L’histoire, ou Hérodote »

» Harpagus répliqua qu’il pouvait justement le regarder comme son propre ouvrage, puisque c’était lui qui avait écrit à Cyrus pour le lui conseiller […] Il mourut après cette confidence, et ses fils ne tardèrent pas à mettre la main à l’ouvrage.

3013. (1925) La fin de l’art

C’est pourquoi je crains les ouvrages en plusieurs volumes. […] C’était un avocat au parlement qui se fit chartreux et écrivit en cette qualité nombre d’ouvrages de piété.

3014. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre dixième. Le style, comme moyen d’expression et instrument de sympathie. »

Rhétorique excellente que celle du savant, car elle repose sur la justesse du style vrai, sobre, proportionné à ce qu’il s’agit d’exprimer, ou plutôt sur la logique, base unique, base éternelle du bon style. » La logique est en effet la base, et, dans les ouvrages purement scientifiques, elle est presque tout ; mais, dans l’œuvre d’art, elle est insuffisante. […] Comme une moissonneuse qui a fini son ouvrage, et qui s’endort fatiguée au bout du sillon, Velléda s’affaisse sur le char ; 3.

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