Mauvais Poëte, dont les Ouvrages sont justement méprisés.
La plus grande partie de ses Ouvrages sont des Compilations, qui supposent une infinité de recherches, & beaucoup de discernement ; tels que les Monumens de la Monarchie Françoise, en cinq volumes in-folio ; l’Antiquité expliquée, en dix volumes aussi in-folio, avec le Supplément qui forme encore cinq in-folio.
On peut lui pardonner ses négligences dans une sorte d'ouvrages où il est dangereux de plaire.
Longin avait cherché à résoudre ce problème dans un ouvrage dont fait mention Diogène Laërce dans la vie de Pyrrhon.
Auguste Vitu On a de lui des ouvrages nombreux et très divers, dont le plus remarquable, pour lequel il emprunta la forme créée au xve siècle par François Villon, est intitulé : Le Testament du sieur Vermersch.
Malgré son activité à s’exercer dans tous les genres, il n’a pas eu le bonheur de sauver aucun de ses Ouvrages de l’anathême attaché à la médiocrité.