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2803. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Franklin. — I. » pp. 127-148

[NdA] Voir la dernière et la seule complète édition de ses Œuvres publiée par M. 

2804. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Le cardinal de Richelieu. Ses Lettres, instructions et papiers d’État. Publiés dans la Collection des documents historiques, par M. Avenel. — Premier volume, 1853. — I. » pp. 224-245

On a dans ses Mémoires une lettre adressée au jeune roi, dans laquelle un bon Français, que ne désavoue pas Sully, s’indigne de voir le maréchal d’Ancre, sa femme et Mangot, « ces trois créatures, avec leur Barbin et Luçon, régir tout le royaume, présider aux conseils d’État, disposer des dignités, armes et trésors de France, etc. » L’ancien ministre de Henri IV méconnaît et renie le successeur qui maintiendra et accroîtra l’œuvre de Henri IV.

2805. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Grimm. — II. (Fin.) » pp. 308-328

Voltaire n’est nulle part mieux défini dans ses œuvres et dans son caractère, que par le détail des anecdotes et l’ensemble des jugements qui sont consignés dans Grimm.

2806. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « M. Necker. — II. (Fin.) » pp. 350-370

Cette première inspiration fut suffisante à l’artiste pour le soutenir de loin ensuite dans l’exécution de son œuvre ; le reste lui vint de son génie littéraire et de son pinceau, de ce don divin de l’imagination qui avait été refusé à ses devanciers.

2807. (1864) William Shakespeare « Première partie — Livre I. Shakespeare — Sa vie »

Malone, critique et blanchisseur de Shakespeare, mit une couche de plâtre sur son visage et de sottise sur son œuvre.

2808. (1864) William Shakespeare « Deuxième partie — Livre VI. Le beau serviteur du vrai »

C’est le contraire de ce mot qui est écrit dans toute notre œuvre, et, insistons-y, dans notre vie entière.

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