Il passa une nuit près d’elle morte : mais pour cela la regretta-t-il profondément ?
. — Smana ou les Démons de la nuit (1821). — Bertram ou le Château de Saint — Aldobrand (1821). — Trilby ou le Lutin d’Argail (1822). — Mélanges tirés d’une petite bibliothèque (1829). — Histoire du roi de Bohême et de ses sept châteaux (1830). — La Fée aux miettes, roman imaginaire (1832). — Mademoiselle de Marsan (1832). — Souvenirs de jeunesse (1839). — La Neuvaine de la Chandeleur ; Lydie (1839). — Trésor des fèves et fleur des pois ; le Génie bonhomme ; Histoire du chien de Brisquet (1844).
Voici le début : Traduction Leconte de Lisle Les chefs des Panakhaiens dormaient dans la nuit, auprès des nefs, domptés par le sommeil ; mais le doux sommeil ne saisissait point l’Atréide Agamemnôn, prince des peuples, et il roulait beaucoup de pensées dans son esprit.
Albert Cim (Service de nuit, Un coin de province, Institution de demoiselles). […] « Nous quittâmes la Gaule sur un vaisseau qui partait de Massilia, un soir d’automne, à la tombée de la nuit. […] La nuit était noire comme poix. […] « Quant à Constant, il avait chassé toute cette nuit, sous la pluie incessante. […] Les Nuits du boulevard, Le Fer rouge, L’Enfant du pavé, Les Drames du demi-monde, La Duchesse d’Alvarès, et quelques nouvelles vraiment exquises (Le Trombone de Salzbach, par exemple).
La nuit était étincelante d’étoiles. […] J’y marche avec précaution, car il fait nuit, une nuit singulière cependant. […] Il y fut fidèle, l’autre nuit. […] Les journées ne valaient guère mieux que les nuits. […] Cette nuit, il pleuvra.
La nuit qu’il couche chez le marquis de Marialva et qu’il ne peut dormir, il emploie son insomnie à l’examen de sa conscience et il se fait à lui-même d’humbles aveux. […] Leur ambition était de réussir un livre de prose « poétique, fantastique, lunatique, — un livre de rêve donné comme le produit d’une suite de nuits hallucinatoires ». […] Venise la nuit, parue dans l’Artiste, devait être suivie de Florence, Rome, Naples… La critique les découragea. […] Bref, ils brûlèrent Naples la nuit, Florence la nuit, Rome la nuit, … ébauchées déjà ou finies peut-être, sauvant seulement le carnet de Domodossola, qui devait dormir jusqu’à ces jours derniers dans son parchemin. […] Énorme et lourde masse dans cette nuit commençante qui laisse à peine deviner les découpures de la pierre.