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574. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Avertissement. » pp. 1-2

Je recommence une série nouvelle d’articles du Lundi ; je me croyais au terme de ce genre d’essais, et je continuais, d’un pas un peu ralenti, au Moniteur ce que j’avais commencé, il y a treize ans, avec vivacité dans le Constitutionnel.

575. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — O — Ordinaire, Dionys (1826-1896) »

. — Rhétorique nouvelle (1866). — Les Régents de collège (1873). — Mes rimes (1878). — Lettres aux Jésuites (1883).

576. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Prarond, Ernest (1821-1909) »

Prarond s’est fait, depuis, une nouvelle manière, savante, compliquée, remarquablement originale.

577. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 420

On dit même qu’il se préparoit à développer, pour la France en particulier, ce qu’il avoit d’abord entrepris pour les anciens Peuples ; nouvelle raison qui justifie nos regrets.

578. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 386

O Dieux, qui d’un si rare effort, Mîtes tant de vertus en elle, Détournez un si mauvais sort ; Qu’elle ne soit point infidelle : Et faites plutôt que la Belle Vienne à soupirer de ma mort, Que non pas d’une amour nouvelle !

579. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Les nièces de Mazarin et son dernier petit-neveu le duc de Nivernais. Les Nièces de Mazarin, études de mœurs et de caractères au xviie  siècle, par Amédée Renée, 2e éd. revue et augmentée de documents inédits. Paris, Firmin Didot, 1856. » pp. 376-411

Ma mère prit ce sonnet comme une chose nouvelle, et fut la première à le montrer comme le tenant de l’abbé Tallemant. […] Il est vrai qu’à la nouvelle de cette avanie dont l’aubergiste n’avait pas manqué de faire trophée, la noblesse de Londres et de la contrée s’indigna et résolut de faire un exemple : on s’entendit pour ne plus descendre chez l’aubergiste exacteur, qui fut ruiné et qui n’eut de recours, dans la suite, qu’en la bienfaisance et la générosité du duc de Nivernais. […] Le mauvais vouloir de la nation anglaise et des partis, les lenteurs et les prétentions de l’Espagne comprise dans le traité, la nouvelle de succès obtenus par les armes anglaises, la prise de La Havane, qui intervint dans le cours même de la négociation, la médiocre sincérité de quelques-uns des ministres anglais qui concouraient à la confection du traité et leur crainte de se compromettre, retardèrent de quelques semaines la signature qu’il aurait fallu enlever de prime abord. […] Je suis bien fâché de ne l’avoir pas pu posséder plus longtemps ; je lui ai escamoté deux soupers, dans lesquels il a été aussi aimable que l’homme du plus d’esprit qui soupe toute sa vie. » — Je crois pourtant devoir avertir que les lettres de Frédéric à Maupertuis, telles qu’on les a publiées, sont fort sujettes à caution, et qu’une nouvelle édition est nécessaire pour établir l’authenticité du texte. […] Le jour particulier que j’ai eu en vue (18 mai 1763), Mme de Boufflers, fatiguée d’une partie de campagne qu’elle avait faite la veille, ne put revenir pour cette nouvelle fête, et Mme d’Usson seule y était.

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