Il se sent homme en retrouvant partout autour de lui la marque de son labeur et de sa pensée ; il est satisfait « de voir toutes les choses si prêtes sous sa main, et tous ses biens en si bon ordre, et son magasin d’objets nécessaires si grand1030. » Il rentre volontiers chez lui, parce qu’il y est maître et auteur de toutes les commodités qu’il y rencontre ; il y dîne gravement « et en roi. » Voilà les contentements du home.
certes, c’est la santé d’une génie bien portant, mais toutefois pour le rendu des délicatesses, des mélancolies exquises, des fantaisies rares et délicieuses sur la corde vibrante de l’âme et du cœur, ne faut-il pas, je me le demande, un coin maladif dans l’homme, et n’est-il pas nécessaire d’être un peu, à la façon de Henri Heine, un crucifié physique ?
Au fond c’est nu, garni du strict nécessaire, des éléments du mobilier, sans le luxe et la distraction de la moindre inutilité, à peine une gravure au mur, pas un portrait, pas un souvenir, pas un de ces objets personnels, pour ainsi dire, à un lieu.
Et il avoue des lacunes, des redites ; il nous invite aussi à trouver certaines imperfections « légitimes et nécessaires », si elles coïncident avec l’inachèvement de la science. […] Bernhardi répliquera que la guerre était, non pas inévitable seulement, nécessaire. […] En fait de liberté, le nécessaire ; et il n’est pas établi que la tribune ait besoin de beaucoup de liberté.
Oui, se battre, je crois cela nécessaire, utile, préservateur pour tout homme de lettres, à son entrée dans la littérature ; et vraiment, si je ne me suis pas battu, ce n’est pas ma faute, car j’ai eu une très grande envie de me battre, lorsque M.
Notre-Dame de Paris était l’objet de sa plus fervente admiration, il n’est pas nécessaire de le dire, et il en tira le motif d’un grand nombre de dessins et d’aquarelles d’un caractère étonnant et tout à fait neuf. […] Pour donner à notre travail la clarté désirable, nous en indiquons les divisions nécessaires.