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1323. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224

De ce moment, il ne fait plus que rire à toutes les mauvaises nouvelles qu’on lui annonce, et ne dit plus que des folies.

1324. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XIV. Moralistes à succès : Dumas, Bourget, Prévost » pp. 170-180

J’entends Prévost me répondre : — Vous me cherchez une mauvaise querelle.

1325. (1898) Le vers libre (préface de L’Archipel en fleurs) pp. 7-20

Un bon Alexandrin vaut mieux qu’un mauvais vers de dix syllabes — et réciproquement.

1326. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47

Voltaire a dit avec justice de Balzac, que la langue française lui avait de grandes obligations : « Homme éloquent, dit-il, qui donna le premier du nombre et de l’harmonie à la prose. » Chapelain était un mauvais poète, mais il était homme d’honneur et de probité ; il possédait une érudition profonde et judicieuse ; il eut, le premier, l’idée du Dictionnaire de l’Académie française.

1327. (1894) Notules. Joies grises pp. 173-184

En ce vers grinçant, se résume tout le caractère de Boileau, caractère de mauvais rimeur envieux des vrais poètes, de plat aligneur de syllabes doué du seul grossier bon sens, caractère, en un mot, de châtré.

1328. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — M. de Voltaire, et l’abbé Desfontaines. » pp. 59-72

Il a fait de mauvais vers, des traductions médiocres & des histoires qu’on ne lit point.

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