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1980. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « M. De Pontmartin. Causeries littéraires, causeries du samedi, les semaines littéraires, etc. »

Nous ne vivons plus sous la loi, mais sous la grâce.

1981. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La comtesse de Boufflers (suite.) »

Comme nous ne jouissons pas ici de la liberté de la presse, le Parlement, par un Arrêt juste, s’il est, comme je n’en doute pas, conforme aux lois du royaume, mais néanmoins rigoureux, l’a décrété de prise de corps, et l’on prétend que, s’il n’avait pas pris la fuite, il aurait été condamné à la mort.

1982. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « Mémoires de l’abbé Legendre, chanoine de Notre-Dame secrétaire de M. de Harlay, archevêque de Paris. (suite et fin). »

… Si l’infraction d’une seule loi peut contre-balancer toutes nos bonnes œuvres, et que, par le seul manquement, on soit coupable comme si l’on avait manqué à tout, qui pourra se sauver de la rigueur d’un jugement où rien ne nous sera pardonné ?

1983. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Sismondi. Fragments de son journal et correspondance »

Une telle remarque, confirmée par des esprits observateurs et d’aussi éminents naturalistes, a force de loi.

1984. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Lettres inédites de Michel de Montaigne, et de quelques autres personnages du XVIe siècle »

On peut se faire cette question, de même qu’on a pu se demander quelle part sa profession de magistrat avait apportée dans sa connaissance et son jugement des lois et coutumes qui régissent les sociétés.

1985. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

En 1822, l’intolérance nationale et classique régnait encore dans tout son plein : on en était toujours aux colères contre Albion ; l’invective des Messéniennes faisait loi.

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