Raynal, savant modeste du pays, et se formant directement par la lecture des grands livres de mathématiques qu’il trouva le moyen d’acquérir.
Les sciences accessoires à la médecine, telles que la chimie, l’anatomie, l’histoire naturelle, y étaient surtout très négligées : mais on y savait tout ce que les Grecs, les Latins et les Arabes ont écrit sur ces divers sujets ; et, si l’on y avait connu la nature aussi bien que les livres, M.
Vraiment ce livre est attendu avec dévotion.
Un livre d’histoire, qu’il publia quelque temps après (Revue de l’Histoire universelle), et qui semblait ne répondre qu’à une demande de librairie, lui servit à se remémorer les faits principaux du passé, dont il faut être muni dans le présent, et à rassembler sous une vue sommaire les résultats d’idées qui sont des conquêtes ; c’étaient des armes qu’il préparait.
Elle déclara que ses produits annuels s’élevaient à trois millions de livres ; qu’ils avaient pour base du salpêtre tiré de l’Inde ; que des encouragements extraordinaires pouvaient les porter à cinq millions, mais qu’on ne devait rien espérer de plus.
Un jour que le duc de Bourgogne s’était surpassé en traduisant dans le quatrième livre des Géorgiques l’épisode d’Aristée, Fénelon, pour le récompenser dignement, écrivait la fable Aristée et Virgile.