De mafilées gaillardes lisent, dorment.
Pour bien lire, il suffit de posséder la partie intellectuelle de l’art du comédien ; mais pour bien jouer, il faut être comédien de toute son âme et dans toute sa personne.
Ajustez, pour couvrir un manquement de foi, Ce que je m’en vais lire… CÉLIMÈNE. Ce que je m’en vais lire…Il ne me plaît pas, moi !
Ce sont des compositions bien insipides que les œuvres des poètes latins des bas siècles, et pourtant, si on ne les a pas lues, il est impossible de se bien caractériser une décadence, de se figurer la cou-leur exacte des époques où la sève intellectuelle est épuisée.
Si vous cherchez la poésie allemande, lisez Goethe.
Un littérateur, ami de Mosso, étant venu assister à ces expériences, Mosso lui demanda d’abord de lire un livre italien, puis de traduire à l’improviste un passage d’Homère : on constata aussitôt d’importantes modifications dans la forme du pouls.