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856. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 520

Clerc, [Jean le] frere du précédent, né à Geneve en 1657, mort à Amsterdam en 1736, où il enseigna longtemps les Langues & les Belles-Lettres.

857. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 17

Le célebre Patru, son ami, en parloit comme d’un des hommes qui de son temps pénétroit mieux les finesses de notre Langue ».

858. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 289

Son style est en même temps celui d'un homme qui connoît sa Langue & sait en faire usage, avec autant de noblesse que de simplicité.

859. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Besnus, Émile (1867-1897) »

Henri Degron Qu’ajouter, sinon dire de relire ses poèmes empreints du charme triste qui semble prédestiné à ceux qui vont partir, et ces pages d’une beauté sûre d’un écrivain déjà maître de sa langue, qui sont Un portrait du duc d’Albe, et les Trianons d’automne.

860. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lautrec, Gabriel de (1867-1938) »

House aux trapèzes de sa bibliothèque, sa langue chaleureuse, exquise ou satirique nous charmera.

861. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 506

On lui attribue une Production infame, connue sous le nom d’Aloïsia Toletana ; mais s’il est assez vraisemblable qu’il ait pu ramasser les ordures qui font la base de cet horrible Ouvrage [le plus dangereux pour les mœurs qui ait paru en aucune langue], il n’est guere croyable qu’un homme qui écrivoit si mal en François, ait été capable d’orner de toutes les graces de la belle Latinité ces Dialogues orduriers.

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