/ 1690
887. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Réception de M. Vitet à l’Académie française. »

Vitet une éclatante et flatteuse justice.

888. (1874) Premiers lundis. Tome I « Walter Scott : Vie de Napoléon Bonaparte — I »

En s’élevant à une immense hauteur, il prend d’avance le droit de faiblir, et, après avoir ravi l’enthousiasme, il peut à son tour réclamer l’indulgence comme une justice.

889. (1874) Premiers lundis. Tome I « Alexandre Duval de l’Académie Française : Charles II, ou le Labyrinthe de Woodstock »

Duval la justice d’avouer que sa polémique ne franchit jamais les bornes d’une contradiction décente ; son ton est empreint de douleur plutôt que de colère ; s’il récuse et condamne les doctrines, il absout les personnes, et l’on voudrait seulement qu’il reconnût un peu plus la force efficace et paisible de la vérité dans une vogue que son indulgence attribue à je ne sais quel prestige du talent13.

890. (1874) Premiers lundis. Tome II « Chronique littéraire »

Les femmes du monde, on leur doit cette justice, se sont prêtées à merveille à l’attrait et à l’embellissement de cette renaissance, elles ont multiplié l’éclat des fêtes particulières ; elles n’ont même pas absolument dédaigné ces tourbillons, moins étroits, mais plus enivrants, où la foule enhardit et protège le mystère. à la blancheur suave du cou et aux lignes voluptueuses de plus d’une pose indécise, il était aisé, jusque sous le masque, de saisir la curiosité de l’aristocratique beauté qui se confiait là, pour la première fois, à quelque guide heureux et fier : c’était une nuance nouvelle en ces sortes de lieux que de suivre ainsi un embarras charmant, dissipé à mesure.

891. (1875) Premiers lundis. Tome III « M. Troplong : De la chute de la République romaine »

est trop humain, il est trop chrétien par l’esprit, trop nourri des idées épurées de justice pour accepter jamais, même à deux mille ans de distance, une telle solution.

892. (1895) Histoire de la littérature française « Première partie. Le Moyen âge — Livre II. Littérature bourgeoise — Chapitre II. Le lyrisme bourgeois »

Puisque Justice cloche, et Droit penche et s’incline, Et Loyauté chancelle, et Vérité décline.

/ 1690