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1331. (1920) La mêlée symboliste. II. 1890-1900 « L’état de la société parisienne à l’époque du symbolisme » pp. 117-124

., une quarantaine environ de toutous d’élite, juste de quoi composer une reluisante Académie.

1332. (1890) L’avenir de la science « XX »

Cela n’est pas juste ; donc cela disparaîtra.

1333. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVIII » pp. 198-205

Cela est sans contredit juste et parfaitement écrit ; mais à la suite, quand Agnès déclare à son tuteur qu’un jeune homme, malgré tous les obstacles, a trouvé le moyen de s’introduire près d’elle et de lui plaire, le tuteur se plaint d’avoir perdu tous les soins qu’il a pris pour lui plaire lui-même ; Agnès lui répond : Vraiment, il en sait donc là-dessus plus que vous, Car à se faire aimer il n’a pas eu de peine.

1334. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 312-324

Anéantir toutes les lumieres, renverser toutes les loix, détruire toute autorité, déchaîner toutes les passions, transformer tous les hommes en autant de monstres, tel seroit, par une juste conséquence, le fruit de leurs perfides raisonnemens.

1335. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 372-383

L’Auteur y enseigne ce qui peut rendre l’esprit actif, juste, & véritablement éclairé ; il y fait connoître les écueils qui peuvent le détruire, y expose les fausses notions capables de l’égarer, & y indique les moyens de se garantir des torts qui l’avilissent ou le rendent coupable.

1336. (1898) Inutilité de la calomnie (La Plume) pp. 625-627

Je sais que seul un juste ouvrage peut posséder l’éternité.

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