le génie du jeune écrivain. […] Parmi ces soldats se trouve un jeune artiste, que M. […] Mais le jeune frère de Golaud, Pelléas, ne peut voir Mélisande sans l’aimer. […] Maurice Lindey est un délicieux jeune premier, brave, élégant, spirituel. […] Il l’invita à dîner, avec de jeunes personnes de mœurs légères.
Eugène Crépet Il a, dans ses volumineuses œuvres, laissé d’admirables vers que les plus illustres contemporains signeraient hardiment, et cependant c’est à peine si son nom est sorti de cette pénombre qui confine à l’oubli… Entre toutes ces pièces, une surtout fut remarquée c’est celle qui a pour titre : Hommage aux mânes d’ André Chénier , et qui se termine par ces vers : Adieu donc, jeune ami, que je n’ai pas connu un de ces vers-proverbes qui profitent plus au public qu’à leur auteur, car tout le monde s’en souvient et les cite, sans que personne puisse dire qui les a écrits. […] Édouard Fournier Son Hommage aux mânes d’ André Chénier est une page éclatante, de laquelle se détache ce beau vers qui est resté : Adieu donc, jeune ami, que je n’ai pas connu.
., toute une bande de jeunes poètes de la dernière heure qui rêvent, cherchent, essayent, travaillent de toute leur âme et de toute leur force, et ont au moins ce mérite de ne pas désespérer d’un art que semble abandonner le public. Il serait bien difficile de caractériser, à moins de nombreuses citations, la manière et le type de chacun de ces jeunes écrivains, dont l’originalité n’est pas encore dégagée des premières incertitudes.
Elle est jeune, timide, imitative, diverse, comme les enfants. […] — Voir une jeune femme. — Quelle jeune femme ? […] Nous ferons un meilleur repas chez la jeune veuve. […] Pour l’y ramener, Boris se mit à parler de la jeune veuve et de la famille Calimon.
Cette jeune école de travailleurs, plus épris de l’étude et de l’honneur que du profit, s’était groupée autour de l’estimable éditeur M. […] J’ai parlé de ces jeunes travailleurs, qui pendant quelques années firent groupe, parce qu’on en retrouve un bon nombre ici. […] Il s’agit de l’effort qu’un jeune vassal et frère d’armes a à faire pour se détacher du seigneur envers qui il s’est lié, même quand ce seigneur est brutal, emporté, cruel, et qu’il veut mener son jeune vassal au pillage et à la guerre contre les proches parents de celui-ci. […] C’est bien de François Ier, de l’avènement du jeune roi vainqueur à Marignan, que date chez nous la vraie Renaissance, cette espèce d’aurore soudaine qui se leva sur les esprits et les intelligences, sur le goût public. […] Ce style poétique si éclatant, si savant naguère, si ferme aux bons endroits sous la main des jeunes maîtres, s’est trouvé compromis de nouveau et remis en question, au moment même où il venait d’être reformé et recréé.
Ces premières pages révélèrent plus qu’un grand style, une grande âme dans cette jeune femme : J. […] On n’était pas accoutumé à une telle virilité romaine d’idées et d’accents sous une main de jeune femme. […] Le jeune et beau comte Louis de Narbonne, ministre de la guerre avant Dumouriez, puisait ses inspirations dans les pensées de madame de Staël et sa récompense dans son amitié. […] Malgré ses pleurs, au péril de sa jeune vie, on a persisté à les séparer. […] Cette femme jeune, éloquente, populaire encore, était à ses yeux une idée survivante de 1789, qu’il était dangereux de laisser briller au cœur de la France si près de la servitude qu’il voulait sans voix.