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889. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « Brizeux. Œuvres Complètes »

« Heureux, ajoute-t-il, qui s’en tient aux seules émotions de l’âme, aux habitudes du foyer, aux simples soirs du pays natal… mais combien pourraient dans la vie et dans l’art négliger la science et impunément se passer d’elle ?  […] Dans des poésies du genre de celles de Brizeux, précisément, la couleur locale devrait avoir un profond, un bistré, un ton d’or noir, qui eût rappelé l’intérieur enfumé de ces fermes et de ces cabanes, qu’il n’aurait jamais dû quitter, et à la porte desquelles il aurait pu un jour trouver la gloire que Burns y trouva, l’heureux homme ! […] Pointillé à nous impatienter les yeux, l’auteur du Vieux Pauvre du Cumberland, de Lucy Gray, de l’Enfant aveugle, ose des recherches d’originalité, souvent heureuses, et au milieu des infiniment petits du détail, il sait ouvrir de l’horizon.

890. (1900) La culture des idées

Heureuse, en effet, pour l’individu qu’elle délivre, cette dissociation particulière l’est beaucoup moins pour les peuples. […] Plus heureux que Platon et que Campanella, les législateurs modernes de l’amour ouvrent une voie où ils ont, hélas ! […] La franchise de saint Paul accrue par le ton arrogant de ses commentateurs eut du moins cet heureux résultat de faire condamner dans leur ensemble, mais non dans leur détail, les pratiques sexuelles. […] Si vous l’avez élu parmi les plus méprisés et les plus dégradés, le résultat de votre petit travail sera très heureux et très profitable. […] « Cette année le choix des conférenciers a été particulièrement heureux.

891. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Plessis, Frédéric (1851-1942) »

Ils y embrasseront la plus heureuse partie d’une vie, la fleur de quinze années d’études, de rêves et d’amour.

892. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 128-129

Cet événement si glorieux à la Religion, si propre à humilier ceux qui l'outragent, si consolant pour ceux qui la pratiquent & la défendent, est sans contredit le plus heureux sujet dont aient jamais retenti les Chaires Chrétiennes.

893. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 262-263

Avec des expressions si heureuses, pouvoit-il espérer de se faire bien des partisans parmi les personnes dont les suffrages ne s'accordent qu'à la raison & à l'honnêteté ?

894. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 48, des estampes et des poëmes en prose » pp. 484-485

L’invention des estampes et celle des poëmes en prose, sont également heureuses.

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