Pailleron, avec une source première de philosophie qui ne s’est point tarie, une faculté d’ironie, concentrée et pathétique, dont on ne retrouve guère la trace dans son théâtre.
L’art compris en dehors de la vie ne peut guère que délasser quelques esprits subtils et précieux.
Trop occupés d’une nature de convention, la vraie nature nous échappe ; nous ne raisonnons guère sur celle-ci qu’à force d’esprit et comme au hasard ; et, quand nous rencontrons juste, c’est moins un fait d’expérience qu’une chose devinée.
Toutefois, nous ne craignons pas de l’avancer, si un tel phénomène a lieu, si la science philosophique reprend l’ascendant d’un enseignement qu’elle a perdu, cela n’arrivera guères que grâce à un prêtre ou à quelque esprit profondément religieux, à une intelligence sacerdotale, — celle de l’abbé Noirot ou toute autre, peu importe !
.), il en arriva, sur le tard, à ne plus guère se préoccuper que du point de vue moral.
On ne lisait guère autrefois que dans les salons ; aujourd’hui ce sont peut-être les salons qui lisent le moins. […] Il n’importe guère au critique qui l’a oubliée, et moins encore au public qui n’a pas envie de la revoir, même en abrégé. […] Il n’arrivera guère qu’un feuilleton qui l’a amusé vaille dans son estime le livre ou la pièce qui l’a ennuyé. […] Ces étoffes grossières ne résisteront pas longtemps à l’usage des corps nerveux auxquels elles sont destinées ; si elles coûtent peu, elles ne dureront guère. […] Il faudrait prendre chaque pièce une à une, et comme l’inspiration de Sully-Prudhomme est très diverse, on ne saurait guère en donner une idée générale.