Il faisait imprimer dans son palais les traductions des bons auteurs grecs et latins ; il envoyait des géomètres et des physiciens au fond de l’Afrique et de l’Amérique, chercher de nouvelles connaissances.
, une dame grecque, une autre dame romaine, avec une autre sortant du bain.
Mais il a fait bien pis ; il l’a faussée… Cet Idyllique démesuré et pédantesque, qui barbouille sur un pipeau de carnaval des motifs classiques et grecs et des motifs romantiques, n’est, après tout, qu’un chercheur laborieux d’effets qu’il ne trouve pas, et par-dessus tout un Parisien pur-sang ou impur-sang (comme on voudra !)
Enfin, en rapprochant les monuments religieux et poétiques des divers peuples de la race sémitique, et en les comparant avec les monuments religieux et poétiques du même genre chez les grands peuples de la race âryane, les Indous, les Perses et les Grecs, l’ethnographie a découvert que le génie symbolique manque absolument à la race des sémites, dont la répugnance invincible pour la doctrine des incarnations est aussi connue que le goût des peuples âryans pour les symboles de toute espèce, naturels ou anthropomorphiques.
Au surplus, Euripide est depuis longtemps, entre tous les Grecs anciens, celui que j’aime le mieux. […] J’avoue que rien, dans les théâtres grec, anglais et français, ne me paraît supérieur à cette comédie indienne. […] misérable : tu as bien l’âme rapace d’un Vénitien et d’un Grec ! […] Michel a épousé en secondes noces une Grecque, Basilide, descendante des anciens empereurs de Constantinople, belle et qu’il adore, et qui le mène, et qui le voudrait roi. […] Mais, selon toute apparence, c’est le saint évêque Étienne qu’ils nommeront, estimant que la place du dur soldat est à la frontière plutôt que sur le trône… Voici venir alors Michel et sa Byzantine et, dès les premiers mots qu’ils échangent, nous voyons que c’est le ménage Macbeth ou quelque chose d’approchant, et par où cette Grecque tient son Bulgare. — Je ne songeais point, dit-il, à la couronne : Mais dans nos belles nuits d’amour, nuits où l’on veille, Tu murmuras le mot fatal à mon oreille… Être roi !
Que ce jeune homme écrive une pièce grecque et je la jouerai peut-être. » En attendant, Victorien Sardou était fort embarrassé de vivre. […] Nous vivons trop dans les livres et pas assez dans la nature, et nous ressemblons à cet imbécile de Pline le jeune qui étudiait un orateur grec pendant que sous ses yeux le Vésuve engloutissait cinq villes dans la cendre. […] Qu’on me montre son portrait, ses lettres, son éventail, les bijoux qu’elle portait et qui tiédissaient sur son cou, sur ses bras maintenant en poussière, la chambre qu’elle habitait et que je rêve, dont je crois voir les meubles d’acajou et de cuivre, de style Directoire, la psyché, le papier de tenture à médaillons avec des sujets grecs, tous ces témoins familiers qui nous disent plus mélancoliquement que le poète : « Elle a passé. » Comment ne sentez-vous point la tristesse profonde et douce de respirer dans de vieilles lettres les âmes disparues et d’évoquer parmi les reliques du passé des formes jadis aimées, qui ne sont plus, qui ne seront jamais plus ? […] Rappelez-vous ce que le Sardanapale de Byron, déjà couché sur son bûcher somptueux, dit à Myrrha, la jeune Grecque. […] Robespierre prononça deux discours à cette fête, l’un sur une estrade de style grec adossée au palais des Tuileries, l’autre sur la montagne du Champ de la Réunion.