« Comme il y a un beau sens enveloppé sous des tours fins, une seconde lecture en fait mieux sentir toute la délicatesse. […] Est-ce qu’on irait glisser (si l’on en faisait) de ses propres fables à la fin d’une édition de La Fontaine ? […] Cette fin est beaucoup plus suivie et d’un plus rigoureux enchaînement que le reste. […] Il en a de très fines, et qui sont toujours vraies, sur les femmes. […] Une anecdote, à la fin du chapitre des Femmes, et qu’a relevée avec raison M.
Un cardinal romain n’y aurait pas mis plus de politique, plus d’habileté fine et douce, qu’elle n’en dépensa durant trente ans. […] Elle savait la fin du jeu en toute chose. […] Le siècle s’ennuyait à la fin d’être contenu par elle et conduit à la lisière, il voulait parler de tout à haute voix et à cœur joie. […] Je la fais à la fois mon Confesseur et mon Directeur, et je commence à croire que je serai à la fin une créature raisonnable, ce à quoi je n’avais jamais visé jusqu’ici. […] Morellet lui-même, quand il parle d’elle, est non pas un excellent peintre, mais un parfait analyste ; la main qui écrit est bien un peu lourde, mais la plume est nette et fine.
Le paradis et la Géhenne n’auront pas de fin. […] Si la doctrine de Jésus n’avait été que la croyance à une prochaine fin du monde, elle dormirait certainement aujourd’hui dans l’oubli. […] Si son unique pensée eût été que la fin des temps était proche et qu’il fallait s’y préparer, il n’eût pas dépassé Jean-Baptiste. […] Il se proposa de créer un état nouveau de l’humanité, et non pas seulement de préparer la fin de celui qui existe. […] Quand, au bout d’un siècle de vaine attente, l’espérance matérialiste d’une prochaine fin du monde s’est épuisée, le vrai royaume de Dieu se dégage.
Concert Philharm. : Prèl. et sc. fin. de Tristan. […] Concert du Gürzenich : Sc. fin. de Parsifal. […] Prél. et sc. fin. de Tristan ; Sc. fin. de la Walküre ; Prél. et sc. fin. du 1er acte de Parsifal. […] Sc. fin. du 1er acte de Parsifal.
Il ne s’applique qu’à distinguer, à définir les êtres moraux qui se révèlent par des œuvres ; et tous ces mélanges de tempéraments, d’intelligences et d’affections sont analysés par lui avec une fine précision. […] Ce maître ciseleur n’est pas du tout dans le mouvement ; on semble revenir à la poésie molle, où flottent de vagues idées, où coule une tiède ou fine émotion : pour tout dire, Lamartine redevient un favori. […] On cherche à rendre le vers plus souple encore, et capable d’harmonies plus fines, plus particulièrement expressives. […] Mais est-il sûr que nous voyions un commencement, non une fin ? […] Hervieu, trop bizarre aussi et violent par inhabileté dans le maniement de la langue, mais créateur de types solides et fins, observateur clairvoyant et féroce des classes aristocratiques Peints par eux-mêmes, 1893.
Ce plaisir, nous devons le dire, a été mêlé de regret pour une nombreuse partie de l’auditoire ; on écoutait, on saisissait quelques mots, on sentait que quantité de choses justes, délicates et fines passaient tout près de là ; on les devinait au sourire même de celui qui parlait, et à la satisfaction de tous ceux qui se trouvaient assez voisins pour en jouir ; on était bien sûr de ne pas se tromper en joignant ses applaudissements aux leurs, mais on éprouvait, en réalité, un peu du supplice de Tantale. Les lecteurs vont se dédommager à présent, et ils goûteront ce discours net, ingénieux et sensé, nourri de conseils, aiguisé d’une douce malice, et qui, vers la fin, présente un portrait si noble et si élevé du savant pur. […] Lacretelle était une des plus aimables figures d’écrivain que la fin du dernier siècle ait données à celui-ci. […] Combien de fois, lorsqu’il m’arrivait d’écrire sur des hommes de la fin du xviiie siècle qu’il avait connus, ne m’adressa-t-il point, par la main de sa respectable compagne, des souvenirs à lui personnels, des particularités qui lui revenaient à l’esprit, des encouragements à poursuivre ! […] La fin du discours de M.