J’ai peine, parfois, à aller au-delà de ce sentiment, et j’ai peur que l’œuvre de MM. de Goncourt, dans ses parties excessives, ne soit une brillante erreur littéraire, une méprise fort distinguée sur les limites nécessaires où doit s’arrêter l’effort des mots, sur la nature et la portée de leur puissance expressive.
Et il adore Dieu dans un tremblement continuel ; et il ne sait que répéter sans cesse que tout est vanité et que toute pensée est une erreur.
Les faits ont pu être contestés ; l’esprit le plus droit, engagé dans un parti, peut-il échapper à des erreurs de fait ?
Là est l’erreur de Chateaubriand et la raison de l’incroyable médiocrité de son école.
4° Glasenappan : — Correction d’une erreur qui s’est glissée dans l’article : Pasticcio de Richard Wagner, reproduit dernièrement dans la Revue de Bayreuth.
C’est une erreur.