Que le poëte choisisse donc son sujet en des tems qui soient à une distance convenable de son siecle, c’est-à-dire en des tems que nous n’aïons pas encore perdus de vûë, et qui soïent cependant assez éloignez de nous pour qu’il puisse donner aux caracteres la noblesse necessaire sans qu’elle soit exposée à être démentie par une tradition encore trop recente et trop commune.
Toutes donnèrent leur consentement.
Cet examen nous donna un résultat assez inattendu.
Voltaire a donné sa fameuse recette pour voir si des vers français étaient bons ou mauvais : Mettez-les en prose !
Le moment était bien choisi pour se donner le plaisir d’une réaction, et l’on sait que dans tous les genres, les plus sérieux comme les plus frivoles, la France se refuse rarement ce plaisir-là.
Il a voulu qu’on s’en souvînt, et il vient de leur donner quelques petits frères.