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288. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 286-288

Les anecdotes curieuses, les particularités intéressantes, les applications ingénieuses, prennent, sous sa plume, une tournure & des graces qui la rendent le modele & le désespoir de ceux qui voudroient tenter de l'imiter.

289. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Ajalbert, Jean (1863-1947) »

Dans ce poème de six cents vers : Sur les talus, son observation est davantage aiguisée encore, et l’harmonie poétique est neuve et curieuse.

290. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 456-458

Il y a des choses curieuses dans les Œuvres Morales de cet Auteur fanatique : entre autres choses, on y apprend un usage singulier parmi les femmes de son temps, la coutume de porter des miroirs attachés à leur ceinture.

291. (1910) Propos littéraires. Cinquième série

Dans un livre charmant souvent, curieux toujours, MM.  […] Ils sont curieux, les portraits d’Aurel. […] C’est plus curieux encore, si c’est involontaire. […] Mais enfin il est curieux et pourrait être sous-intitulé Histoire judiciaire et sociale d’un ridicule. […] L’effet fut curieux sur la particule.

292. (1890) Derniers essais de littérature et d’esthétique

A quels curieux expédients M.  […] La ressemblance entre les manuscrits et les livres imprimés était des plus curieuses, des plus suggestives. […] Et peut-être pas si curieux que cela, après tout. […] Edward Carpenter, c’est la curieuse variété de leurs professions respectives. […] Marcus Clarke, de l’aspect et de l’esprit de la Nature en Australie est des plus curieuses et des plus suggestive.

293. (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1890 » pp. 115-193

Vendredi 3 janvier C’est curieux comme le contact intime avec la cuisine d’un art, est pour un littérateur, la révélation de choses nouvelles et originales à apporter dans son métier. […] Il est des dessins d’apparitions dans de curieuses gloires fantastiques, dans des gloires qui ne pouvaient être entrevues, que par un spirite faisant de la peinture. […] Et à mesure que le drame se déroule, Tissot s’animant, s’exaltant, et toujours parlant avec une voix plus basse, plus profonde, plus religieusement murmurante, prête aux choses représentées, des sentiments, des idées, des exclamations qui feraient une glose curieuse à joindre aux Évangiles apocryphes. […] Et c’est vraiment curieux de l’étudier en sa tendre spécialité, dans quelques toiles qu’il n’a pas encore vendues, et dans un nombre immense de dessins qu’il dit être la représentation de gestes intimes, et qui sont d’admirables études de mains enveloppantes de mères, et de têtes de téteurs, où dans ces visages vaguement mamelonnés, il n’y a que les méplats du bout du nez, des lèvres, et la valeur de la prunelle, et où, sans apparence de linéature, c’est le dessin photographique du momaque, et la configuration cabossée de son crâne. […] Un curieux mot de Léon enfant, le lendemain de la prise de possession de Champrosay par les Prussiens : « Papa, puis-je me réveiller ? 

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