/ 2038
413. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 157-161

Il ne craignit point de publier un Ouvrage sous ce titre : Dissertation selon la méthode des Géometres, pour la justification de ceux qui, en de certaines rencontres, emploient, en écrivant, des termes que le monde estime durs.

414. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 100-104

Piqué du jugement que nous avons porté de ses Productions, & irrité de ce que nous n'avons pas craint de nous élever contre l'abus déplorable qu'il a fait de ses talens, ce Poëte ne nous a point oubliés dans cette Satire ; mais ce qu'il dit de nous, annonce moins de talent que de haine & de fureur : aussi croyons-nous ne pouvoir mieux nous venger des sarcasmes qu'il nous prodigue, qu'en les mettant sous les yeux de nos Lecteurs.

415. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome IV pp. -328

Le gouvernement craignit qu’elle n’ajoutât au fanatisme. […] Le peuple, qui s’allarme aisément, craignit d’aller contre cette défense. […] Ils se jouent d’un homme désespéré qui craint également la vie & la mort, empressés de faire des expériences. […] On grava une estampe où l’on lisoit(*) : Craignez encor, craignez le cordon de François. […] Sûr d’être avoué de sa compagnie, il écrivit avec confiance contre le Tasse, & ne craignit point de grossir les défauts de ce poëte.

416. (1923) Au service de la déesse

Si, d’ailleurs, on craint que M.  […] Il craint la chance ; il la refuse, comptant qu’il devrait la payer cher. […] Il ne craignit pas de l’avouer ; ou, du moins, il annonça qu’il ne le craignait plus. […] Et je crains de n’être pas clair, en disant que les ouvrages de M.  […] Il ne craint pas de dire « ma piété ».

417. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ALFRED DE MUSSET. » pp. 218-221

Après tant de témoignages de constante attention, on ne saurait dire assurément que je l’aie négligé : je crains cependant de n’être pas tout à fait arrivé, à son sujet, au niveau des exigences de quelques-uns, — et je ne parle pas seulement de sa famille, mais des admirateurs enthousiastes qu’il n’a cessé de recruter dans les générations survenantes.

418. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. FAURIEL. — POST-SCRIPTUM. » pp. 269-272

En commençant cette réimpression, nous pouvions craindre d’avoir trop penché pour l’enthousiasme ; en la terminant, un scrupule contraire nous vient, et nous aurions voulu, dans plus d’un cas, avoir mieux su tempérer l’éloge, de manière à ne jamais paraître le retirer et à n’avoir point à enregistrer les retours de nos jugements après les écarts.

/ 2038