. — Célébrités catholiques contemporaines (1869). — Corbris et d’Aubecourt (1869). — Les Couleuvres (1869). — La Liberté du Concile (1870). — Les Filles de Babylone, en vers (1871). — La Légalité (1871). — Paris pendant les deux sièges (1871). — La République de tout le monde (1871). — Dialogues socialistes (1872)
C’est par cette magie que sa prose est autant supérieure à celle de ses contemporains, que les vers de Corneille & de Racine le sont à ceux des petits Poëtes tragiques d’aujourd’hui.
La postérité devient toujours sévere à l’égard des Auteurs, dont les contemporains ont été trop légérement enthousiastes.
Ses Vers ne sont point surchargés de ces mots inutiles, de ces épithetes oiseuses, tristes enfans de la stérilité, nés pour être les esclaves de la mesure & de la rime ; mais ils sont froids & monotones, quoique plus remplis de pensées que ceux de ses prédécesseurs & de ses contemporains.
Cette accusation a été combattue & réfutée par ses Contemporains, ainsi que par des Ecrivains qui lui sont postérieurs.
Seulement il oubliait qu’il ne serait pas jugé par des contemporains de mademoiselle de La Vallière et de madame de Sévigné ! […] Un héros, et, qui pis est, un poëte contemporain. […] Pour tout le reste, Héloïse est notre contemporaine. […] Oddoul m’a inquiété et troublé dans mon orthodoxie littéraire, comme Abailard inquiétait et troublait ses contemporains. […] Et cette vie du théâtre, telle que l’entendaient les contemporains de Scarron !