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314. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « [Note de l’auteur] »

. — Le morceau suivant, sur Werther, a été inséré dans la Revue contemporaine en juin 1865, et les autres l’ont été, vers le même temps, dans L’Athenaeum.

315. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article »

GREVIN, [Jacques] né à Clermont en Beauvoisis, mort à Turin en 1570, âgé de 29 ans, Poëte oublié & contemporain de Ronsard.

316. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article »

Il fit long-temps une Gazette en vers burlesques, où il annonçoit les nouvelles de la Cour & de la Ville, d’une maniere propre à faire rire ses Contemporains.

317. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — N — Nardin, Georges »

Georges Nardin a publié diverses études ou critiques d’art et des articles à la Revue contemporaine.

318. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Sutter-Laumann (1852-1892) »

Laumann d’avoir adoré la mer avec sa grande tristesse, mieux peut-être qu’aucun de nos contemporains.

319. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre septième »

. — Des qualités de corps et d’esprit de ce prince, et comment on reconnaît son image dans les écrits contemporains. — Des rapports de Louis XIV avec les écrivains. — § III. […] Il est très vrai que la plupart des écrivains contemporains de Louis XIV étaient ses aînés de plusieurs années. […] Au reste, le plus bel éloge qu’aient fait de ce prince les écrivains ses contemporains, ç’a été de réfléchir dans leurs ouvrages les qualités de son gouvernement, dans ces années si glorieuses et si fécondes. […] Qu’on aille plus loin encore, pour ne rien diminuer de leur gloire ; qu’on réduise l’influence de Louis XIV à des ressemblances heureuses entre ses contemporains et lui. […] Ce code du goût, comme l’appelèrent les contemporains, eut pour premier effet d’aigrir les inimitiés que Boileau s’était attirées par les satires, et de lui en attirer de nouvelles.

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