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447. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 147

] Souffleur, Secrétaire, Répétiteur, & Poëte de la Comédie Italienne, né à Paris en 17..

448. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » pp. 168-169

Artaud est une Comédie en un acte, & à scenes détachées, dont le titre est la Centenaire.

449. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 274

Cette derniere Comédie n’est qu’une farce ridicule, où l’Auteur des Fourberies de Scapin n’auroit pas voulu puiser, quand même il n’auroit été capable que de faire cette Piece.

450. (1880) Goethe et Diderot « Gœthe »

Le touche-à-tout ambitieux qui était en lui toucha aussi à la comédie, et il y mit sa patte d’Allemand comme un ours flanquerait sa patte d’ours dans un travail en filigrane. […] Gœthe ne rappelle de Florian que l’âne de sa fable, qui, trouvant une flûte à ses pieds et la prenant pour un chardon d’une espèce particulière, y colla ses lourdes babines, souffla et en tira un son qui l’émerveilla dans sa naïveté d’âme, tandis que Gœthe, pour avoir poussé son haleine dans ce trou de flûte, ne s’est point étonné, mais s’est cru un Ménandre, — comme dans le Grand Cophte et les Complices, ses hautes comédies, il s’est cru peut-être un Aristophane. […] Quant au Général et aux Révoltés, qui complètent les comédies de Gœthe, ce ne sont que des farces révolutionnaires ; mais, lorsqu’un Allemand fait le farceur, c’est lui qui est la farce, comme l’oie du pâté de foie gras, dans sa croûte, est toujours le pâté ! En somme, il n’est pas de petit théâtre à Paris qui n’ait dans son répertoire des comédies et même des vaudevilles plus spirituels, plus caractérisés, plus comiques que les comédies de Gœthe. […] Le Wilhelm Meister, c’est le cabotinisme d’un homme qui a toujours mis la comédie au-dessus de la vie et le comédien au-dessus du héros ; c’est du cabotinisme exaspéré, insensé, mais ennuyeux, ce qui n’est pas permis au cabotinisme.

451. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « III — I » pp. 12-13

Un spectateur (ou qui voulait l’être, et qui n’a pu obtenir de billet à la porte) a fait incontinent un procès à la Comédie française.

452. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Barbier, Jules (1825-1901) »

. — Amour et Bergère, comédie en un acte, en vers (1849). — André Chénier, trois actes en vers (1849). — Jenny l’Ouvrière, drame en cinq actes, avec M. 

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