/ 1410
285. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre second. Philosophie. — Chapitre V. Moralistes. — La Bruyère. »

» La Bruyère dit encore : « Il n’y a pour l’homme que trois événements : naître, vivre et mourir ; il ne se sent pas naître, il souffre à mourir, et il oublie de vivre. » Pascal fait mieux sentir notre néant : « Le dernier acte est toujours sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. […] On voit d’abord la comédie, et puis la terre, et puis l’éternité.

286. (1888) Impressions de théâtre. Deuxième série

Seulement, il appelait les siennes des « comédies attendrissantes ». […] Et puisque toutes ces comédies se ressemblent, pourquoi en jouer plus d’une ? […] Ces petites ironies de la comédie humaine font toujours plaisir. […] Vaudeville : Georgette, comédie en quatre actes, par M.  […] Je me contenterai donc de vous exposer de mon mieux la comédie de M. 

287. (1895) Impressions de théâtre. Huitième série

L’excellent Banville devait, j’en suis sûr, goûter fort cette folle comédie. […] La forme est, ici, supérieure à celle même des comédies en vers d’Emile Augier. […] Ce cabotinage est l’atmosphère même de ma petite comédie. […] Les comédies de M.  […] À l’heure qu’il est, la « gigolette » pure a droit de cité dans le drame et dans la comédie.

288. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Académie française — Réception de M. Ponsard » pp. 301-305

En louant les comédies populaires de M.  […] Nisard, peuvent venir d’eux-mêmes visiter le poète dans sa province ; mais les héros de la comédie ne sont pas si commodes ; il faut les aller chercher de sa personne au milieu du monde et à Paris, où se trouvent les plus illustres. » On ne saurait mieux penser ni mieux dire, et avec plus de piquant.

289. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pottecher, Maurice (1867-1960) »

. — Le Lundi de la Pentecôte, comédie en un acte (1898). — Chacun cherche son trésor, comédie en trois actes, en vers et en prose, musique de Lucien Michelot (1899). — Le Théâtre du Peuple, renaissance et destinée du théâtre populaire (1899). — L’Exil d’Aristide, conte (1899). — Le Chemin du repos, poèmes (1890-1900) [1900].

290. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Conclusion » pp. 355-370

Quand vous avez fait, comme élève de William Schlegel, une Leçon sur la comédie ; quand vous avez écrit, comme émule de Jean-Paul, des Pensées sur la poésie comique, nous avons bien vu que vous vous moquiez du monde, assez maladroitement, il est vrai, avec un mélange d’idées graves et sensées qui plusieurs fois nous a fait douter de vos intentions ironiques. […] La comédie pourrait peut-être mieux finir ; mais c’est ici un livre de bonne foi, et je suis forcé d’en demeurer là 467. […] On disputera fort et ferme de part et d’autre, sans que personne se rende… La comédie ne peut pas mieux finir, et nous ferons bien d’en demeurer là.

/ 1410