C’est avec ce sentiment fort et doux tout ensemble, c’est avec cet amour du torrent que j’ai laissé échapper de mon cœur mes sombres et incultes ouvrages : voilà la Melpomène des Allobroges, la poétique des antres et de la liberté. » La littérature révolutionnaire n’a pas à citer de plus orgueilleux accents et d’une emphase mieux caractérisée : c’est comme un écho de la Marseillaise dans les Alpes. […] C’est ainsi, pour n’en citer qu’un exemple, qu’il écrivait à Andrieux, au commencement de l’année 1806, — une date qui n’était pas trop ignoble toutefois et trop déshonorante : « Si, chemin faisant, dans vos lectures, dans vos souvenirs, par le bénéfice des occasions, vous pouviez m’indiquer un sujet de poème neuf, intéressant, pathétique, aimable, pastoral, patriarcal, sans héros, — je ne les aime point du tout, — vous me feriez, mon cher ami, un très grand plaisir. […] Odogharty de La Tour, du 7 novembre 1806, souvent citée, est tout bonnement sublime. […] J’en citerai quelques passages : « (10 thermidor an VIII, 29 juillet 1800).
La lettre par laquelle elle répondait ou s’excusait de ne pas répondre à ses questions, nous la peint trop bien pour ne pas être citée : « Lyon, 15 octobre 1836. […] Nous y reviendrons avant de finir, heureux d’en pouvoir citer de précieux témoignages91. […] pas une porte où je puisse aller frapper ; les événements semblent avoir écrit sur toutes : Détresse. » Je continuerai de suivre la trame de l’existence qui nous intéresse, moyennant encore des passages de lettres écrites après 1848 : celles que je citerai dorénavant sont la plupart adressées par Mme Valmore à ses parents de Rouen. […] M. le colonel Bernady proteste, en sa qualité de témoin ayant pris part au combat, contre les vers que cite M.
J’aurais peine à citer un seul révolutionnaire qui ne fût transporté de ces théorèmes anarchiques et qui ne brûlât du désir de les réaliser. […] On en citerait vingt cas pour un. — Au théâtre de Grenoble, Barnave enfant589 était avec sa mère dans une loge que le duc de Tonnerre, gouverneur de la province, destinait à l’un de ses complaisants. […] Dans ce délire universel, Morris ne peut citer à Washington qu’une seule tête saine, Marmontel, et Marmontel ne parle pas autrement que Morris. […] Mme de Genlis, Adèle et Théodore (1782), I, 312. — Déjà en 1762, Bachaumont cite un grand nombre de pièces écrites par des grands seigneurs : Clytemnestre, par le comte de Lauraguais ; Alexandre, par le chevalier de Fénelon : Don Carlos, par le marquis de Ximénès.
Gasperini, et après lui Jullien et d’autres, cite cette phrase de Tristan : « C’est moi-même qui suis le monde. » Mais est-ce là du Schopenhauer ? […] Enfin, ce n’est pas la théorie philosophique en tant qu’explication abstraite du monde et basée sur ces déductions logiques, qui « gagna » Wagner, mais la théorie de l’art, notamment celle de la musique, ainsi que la morale (comme on vient de le voir par la phrase citée). […] Qu’on me permette, pour terminer, de citer cette phrase de Schopenhauer : « Il est aussi indigne que sot de vouloir expliquer les poèmes… en les réduisant à être l’expression d’une vérité abstraite, et en prétendant que la démonstration de cette vérité était leur but. » Dans un prochain article, je montrerai quelles sont les circonstances qui ont plus spécialement influencé Wagner pour la création de Tristan et Isolde 7. […] Je cite M.
J’aimerais à la citer, mais citer, c’est endosser en quelque sorte, et du portrait je n’ose garantir la ressemblance, mais seulement la vraisemblance.
Le trait du Roman de la Rose qu’on nous cite est, en effet, remarquable ; mais il est précisément dans le goût d’Homère, et les traits de ce genre fourmillent dans l’Iliade et l’Odyssée. […] Qu’a fait Flaubert dans Salammbô, pour ne citer que celui-là ?