Bazin : « C’était un esprit curieux et patient, qui savait sur le dix-septième siècle autant de menus détails qu’on en peut savoir ; aussi peut-on se fier à son exactitude quand il cite des dates ou des faits positifs. Mais quand il s’agit de fixer des points douteux et sujets à contestation ; quand il faut non plus citer mais juger, on doit se défier de lui ; il vise avant tout à l’originalité, aux choses curieuses, et il aime mieux le faux que le commun. […] Aimé-Martin alla les emprunter en 1837, pour cette même édition, dont nous venons de citer une note, et les donna comme une trouvaille de son fait. […] Nous devons citer surtout, pour donner une juste idée de l’innocence, nous allions dire du crédit de cette expression dans le grand siècle, une réponse d’une dame Loiseau, bourgeoise riche et renommée pour la vivacité de ses saillies. […] Nous aurions pu citer, dans le nombre des personnes que Molière fréquentait, le président Rose, également lié avec Despréaux et Racine.
Mais il faut citer ces stances qui, pour nous désormais, ont tout leur sens et toute leur vérité.
Fischart cite jusqu’à 586 jeux d’enfants et de société, que j’ai comptés en me pressant et en m’ennuyant beaucoup.
J’ai lu sans prendre de notes, et ne puis citer de mémoire un passage justificatif de cette critique, mais je le ferais au besoin.
C’est une publicité de la pensée plus restreinte mais plus sûre que l’imprimé ; c’est aussi le plaisir de l’applaudissement direct, dans la figure, surtout quand on a comblé une petite salle de ses amis, bref c’est un ensemble de petites illusions, illusion de pensée, illusion d’éloquence, illusion de succès qui chatouillent ridiculement, mais si au bon endroit notre vanité, qu’on ne saurait citer aucun sage qui, ayant fait une conférence, n’en ait pas voulu tenter d’autre.
Ce vantard de raffinements pense, devant la réussite, aussi grossièrement que feu Sarcey et — selon le mot que je citais tout à l’heure, mais qu’on ne saurait trop répéter — il se garde bien de « méconnaître que, sous un succès, il y a toujours une vertu ».