Un sage a souhaité qu’il fût accordé à l’homme de bien par le ciel de recommencer sa vie, comme on donne une seconde édition d’un premier ouvrage, afin de pouvoir le retoucher et le corriger, en effacer toutes les fautes.
« Avec lui s’éteint, je le répète, une des plus belles et des plus vives intelligences qui aient brillé en notre xixe siècle, un des plus étonnants météores qui aient sillonné pendant cinquante ans notre ciel et notre horizon. » De plus, on lit dans le Constitutionnel du 24 janvier : « M.
Incapable de maîtriser son essor, il ne peut effleurer la terre du pied sans rebondir aussitôt jusqu’au ciel et se perdre dans la poussière dorée d’un rayon lumineux.
. — Vous avez doté le ciel de l’art d’on ne sait quel rayon macabre ; vous avez créé un frisson nouveau.
Vous faites le ciel désert et la terre muette.
En 1572, Tycho-Brahé remarqua dans le ciel une étoile nouvelle.