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1146. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXV. Mme Clarisse Bader »

C’était bien la peine d’être une charmante femme !

1147. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Les civilisations »

Faliés l’a posée nettement au début de son livre, cette question de race, comme le lampadaire de l’Histoire, et cela donne une sensation charmante !

1148. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Odysse Barot »

Eh bien, c’est ce traducteur de Carlyle, qui s’est interrompu lui-même et dont la traduction étincelle des beautés de l’original, qui nous donne aujourd’hui une histoire de la littérature anglaise, et, malgré son titre, qui dit faux en disant : « de la littérature contemporaine », une histoire intégrale de la littérature en Angleterre, commençant à la première chronique saxonne et au premier poème normand, et allant jusqu’au dernier journal anglais de l’heure présente, jusqu’à la dernière feuille de chou, comme disent avec tant de distinction ces charmants journalistes, ces fameux lapins du journalisme qui se mangent leurs journaux entre eux !

1149. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Le roi René »

Il avait même une femme courageuse, habile et charmante, qu’il envoya comme régente en son royaume de Sicile et qui le lui tint dans sa main jusqu’au moment où la sienne, à laquelle il échappa, vint la remplacer.

1150. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Madame de Sévigné » pp. 243-257

Ce qu’Hippolyte Babou doit surtout craindre et surveiller en lui, c’est cette légèreté d’esprit si rare à présent, et que, pour mon compte, je trouve charmante… Il l’a rencontrée dans madame de Sévigné, et nous sommes tous des Narcisses !

1151. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « La Papesse Jeanne » pp. 325-340

Aussi, pour s’assurer qu’on la lira, cette dissertation, le charmant auteur de La Papesse dit, avec toute la langueur de l’indifférence : « Ne la lisez pas ! 

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