Enfermés, pressés dans les limites d’un chapitre, nous n’indiquons que des résultats ; mais on comprend quels ferments de déception haineuse et féroce de tels résultats durent laisser dans les âmes que le Protestantisme avait corrompues. […] On a vu, au commencement de ce chapitre, comment l’auteur de l’histoire de la Compagnie de Jésus avait répondu à ces derniers échos du xviiie siècle, et nous n’en parlerions même pas, si l’opinion de l’Europe ne voulait pas qu’une sottise dite en France fût plus comptée qu’une chose raisonnable dite ailleurs. […] Nous avons dit au commencement de ce chapitre qu’il est parfois jusque dans le blâme beaucoup de vénération et d’amour.
Chapitre VI. […] Matière et Mémoire, Paris, 1896, chap. […] PAULHAN, Psychologie de l’invention, Paris, 1901, chap.
Chapitre II. […] livre 2, chap. 6.) […] La fin de cet alinéa est rejetée dans une note du chapitre III.
Dans cette masse indigeste et presque insupportable d’ensemble, il y a toujours des détails fort beaux, des chapitres du premier ordre pour l’intérêt et la réalité historique. […] Au commencement de 1606, rassuré sur ce chapitre des biens, il fut fait et reçu duc de Sully, et c’est sous ce nom que la postérité s’est accoutumée à le regarder.
On a, quand on parle de Gibbon, même en France, une prévention défavorable à vaincre ; c’est que lui-même a parlé du christianisme dans les 15e et 16e chapitres de son premier volume avec une affectation d’impartialité et de froideur qui ressemble à une hostilité secrète, et qu’à ne voir les choses que du simple point de vue historique, il a manqué d’un certain sens délicat, tant à l’égard du fond de l’idée chrétienne que par rapport aux convenances qu’il avait à observer envers ses propres contemporains. […] Quand il vit le scandale que ses deux chapitres avaient causé, surtout en Angleterre, chez les pieux, les timides, les prudents (comme il voulait les appeler), il en eut quelque regret, et il convient que, si ç’avait été à recommencer, il y aurait pris garde davantage ; car Gibbon, s’il n’est point du tout un homme religieux, est encore moins un sectateur et un fauteur d’incrédulité.
Bouillier, dans sa récente et excellente Histoire de la philosophie cartésienne, aurait eu le droit de faire un coin de chapitre ainsi intitulé8. […] Elles se mirent exprès sur le chapitre des beaux esprits, afin de nous faire voir ce qu’elles valaient, par le commerce qu’elles ont avec eux.