Nous n’aurions qu’un chapitre à écrire sur les œuvres de M. de Vigny, et nous serions forcé de choisir un de ses ouvrages pour donner une idée des autres et de son génie, que ce sont ses Poèmes que nous choisirions.
Mistral tient un tel espace, il a besoin d’un tel champ pour se déployer dans sa magnificence ou dans son charme, un peu farouches tous les deux ; ses bas-reliefs fourmillent de tels détails, que de tous les poètes, difficiles à citer dans un chapitre de la nature de celui-ci, il est peut-être le plus difficile.
Cependant, il faut bien le dire, depuis que ce chapitre est écrit, l’Académie a donné le prix de poésie à M.
Milton, aveugle et pauvre comme Corneille, moins heureux par ses filles, qui furent mauvaises, paraît-il, comme nous venons de le dire au chapitre précédent, que Corneille par ses enfants, vécut la dernière partie de sa vie entre l’orgue dont il jouait et la Bible qu’on lui lisait.
Gustave Flaubert dans le cours de ce chapitre, et je n’ai pu m’empêcher de signaler, entre M.
Chapitre V.