La prépondérance des politiques avec Henri IV, la dictature de Louis XIV et les mauvaises mœurs de sa cour proxénète, le système de Law et ses conséquences, avaient été autant de causes de cette concentration hypertrophique que la Révolution augmenta, n’y pouvant remédier.
Car, pour comprendre le Moyen Âge, cette gestation laborieuse et profonde d’une société qui a fini par s’organiser dans la plus merveilleuse harmonie, il faut avoir de deux choses l’une ou la raison du grand historien qui voit l’entre-deux et le dessous des faits, qui en perçoit les causes et les détermine, ou la sensibilité du grand poète qui, par le sentiment et une transposition sublime de son être dans le passé, arrive à l’intuition complète du temps qui n’est plus.
Dans tout cela, peu de causes de bruit ; et, d’ailleurs, tout ce qui n’intéresse qu’une société périt avec elle.
Dans L’Affaire Clémenceau, il y a tout un côté Girardin qui touchera probablement jusqu’aux larmes l’homme avec qui Alexandre Dumas fils s’est brouillé, pour cause de paternité partagée… et qui le ramènera peut-être à Alexandre Dumas fils, en vertu d’un attendrissement intellectuel et généreux !
, comprendra. » La critique est maintenant une femme, — ajoute toujours, en surchargeant son idée, ce galantin de Rigault, — « une femme du monde, qui cause, qui sourit, qui pique et ne rudoie jamais.
Il faut plus que cela quand on prend en main sa cause.