L’analogie et la vérité des descriptions étaient frappantes ; elles conviennent encore à ce pays, après tant de siècles et de vicissitudes. » Là est le côté étroit, le côté fermé chez Volney. […] Il y avait chez Volney un côté pratique, économique et réel, qu’on ne s’attendrait pas à trouver chez un érudit si passionné pour l’étude et pour le travail du cabinet. […] Par ces côtés positifs, Volney était un membre utile de l’émancipation de 1789 ; mais il y mêlait une passion philosophique singulière, et, entre toutes celles du même genre qui éclataient alors, la sienne se distinguait par un caractère aigu et ardent. […] Sans entrer le moins du monde dans la question astronomique et théologique, à ne prendre le livre que par le côté littéraire et moral, nous en saisirons aisément le faux, et cela en vaut la peine.
Pour se faire une idée de cette foule qui occupe le côté gauche du tableau, imaginez vue par le dos, accroupie sur les dernières marches, une femme en admiration les deux bras tendus vers le saint. […] On dit que ces deux dernières figures sont trop petites pour le saint, et surtout pour celles qui sont debout à côté d’elles ; cela se peut. […] Des citoyens instruits, tels que vous et moi, s’il y en avoit eu, auroient hoché la tête de dédain et se seroient dit d’un côté de la scène à l’autre, autres platitudes qui ne valent pas mieux que les nôtres. […] De quelque manière que des objets inanimés soient disposés les uns à côté des autres, je ne dirai qu’ils groupent que, quand ils sont liés ensemble par quelque fonction commune. […] Il faut de grandes masses d’ombres sur les côtés.
J’ai peine à croire que sans préméditation on imite si exactement le Jules Mary : « Au trot régulier de son robuste attelage, le landau sortit de Corbeil, laissant derrière lui les cheminées géantes des minoteries, dont la fumée assombrissait tout un côté du ciel splendide », — et le Henry Monnier : « Le général était aux eaux dans le Tyrol, avec la duchesse ; le fils à Stanislas, piochant ses examens de Saint-Cyr qui brûlaient », accouplement de métaphores emprunté à la littérature de la Terre de Feu… Un autre charme du roman est le mépris implicite de toute psychologie. […] Léon Daudet n’a fait qu’effleurer ou a touché à côté.
Où est le temps où mes lèvres suivaient sur la gorge de celle que j’aimais, ces traces légères qui partaient des côtés d’une touffe de lis, et qui allaient se perdre vers un bouton de rose ? […] Cela ne figurera-t-il pas bien à côté des Fiançailles de Greuze et de ce joli polisson de Drouais ?
N’est-ce pas une façon de juger bien étrange que de ne regarder les Anciens que par leurs beaux côtés, comme vous faites, et que de fermer les yeux sur leurs défauts, et de n’avoir au contraire les yeux ouverts que sur les défauts des Modernes, et que de les tenir opiniâtrement fermés sur leurs beautés [?] […] N’entends-tu pas la voix de la surprise et de l’admiration qui s’élève de tous côtés ?
Un peu plus vers la gauche, et tout à fait sur le devant, une femme agenouillée tendant aussi le bras au même enfant qu’elle se dispose à recevoir d’un vieillard qui le lui présente de côté et sans la regarder. […] Du même côté, colonnes.