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1903. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »

Cheik-Ali-Kan, ce grand vizir hors de charge, se trouva là pour le bonheur de ces malheureux.

1904. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre septième »

Je suis Français et chrétien ; je sens, je sens le bonheur public, et je décharge mon cœur devant Dieu217. » Cette admiration universelle des lettres pour Louis XIV n’est pas une conspiration de flatterie, mais l’impression forte que de grands écrivains recevaient des qualités du roi et de la grandeur de la France, depuis que sous ce roi, comme dit encore Bossuet, elle avait appris à se connaître218.

1905. (1895) La science et la religion. Réponse à quelques objections

C’est ainsi que le triomphe universel de la science arrivera à assurer aux hommes le maximum possible de bonheur et de moralité. » Ni Condorcet ni Renan n’avaient rien dit de plus ; et tout ce qu’ils nous avaient promis, on le voit, un autre « secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences » nous le promet à son tour.

1906. (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre VI : Difficultés de la théorie »

Nous devrions admirer aussi, bien que cela nous puisse paraître difficile, la haine sauvage et instinctive qui pousse la reine-Abeille à détruire les jeunes reines, ses filles, aussitôt qu’elles sont nées, ou à périr elle-même dans le combat ; sans doute, c’est le bien de la communauté qui l’exige, et la haine maternelle peut provenir comme l’amour, bien que par bonheur plus rarement, de ce même principe inexorable de sélection naturelle.

1907. (1881) La parole intérieure. Essai de psychologie descriptive « Chapitre II. La parole intérieure comparée à la parole interieure »

. […] Elle ne pouvait distraire sa pensée du bonheur de sentir Julien couvrir sa main de baisers enflammés.

1908. (1903) Articles de la Revue bleue (1903) pp. 175-627

Ellora, la poétesse, par son message et sa mort, lui a révélé quelque chose de plus grand encore : le renoncement absolu, le sacrifice d’une âme qui, n’ayant pas trouvé le bonheur, s’offre en holocauste à l’âme de l’univers, s’identifiant avec elle.

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