Marais, qui aime mieux voir sa femme en princesse qu’en ouvrière, et en robe blanche qu’en haillons. […] Enfin, elle ressemblait aux chattes qui aiment à se coucher en rond sur le linge blanc. » Il y a loin de cette femme qui s’abandonne au courant, à la vaillante lutteuse que nous montrent MM. […] Goujet se marie ; Mes-Bottes vient se promener en gilet blanc dans la rue, pour prendre l’air sans doute ; Virginie, en toilette fort élégante, passe au bras de Lantier ; Poisson épie son épouse infidèle et se prépare à la punir d’un coup de poignard… Une pauvre femme, en cheveux blancs, se traîne contre les murs et implore la pitié de tous nos héros qui passent l’un après l’autre. […] Et pourquoi ne le serait-elle pas La trahison et l’adultère ne sont guère plus propres que l’ivrognerie : seulement ces crimes sont ceux des classes aristocratiques de la société ; on les cache sous l’habit noir, sous les jupes de satin ; la main sanglante est blanche, sous des gants blancs ; le vice est moins laid, éclairé par les candélabres, reflété par les glaces de Venise.
J’achevais de le lire mercredi matin, tandis que se faisait aux faubourgs populeux cette descente anniversaire qui, d’un seul flot, refoule notre humanité perfectible aux beaux jours de l’antique Sardanapale, et je me disais, en entendant ces échos lointains : « N’est-ce donc pas une débauche aussi que tant de grâce, de sensibilité, d’esprit fin et d’observation morale, s’employant et s’affichant uniquement pour mettre du noir sur du blanc, comme on dit, et pour vider l’écritoire ?
[Revue blanche (octobre 1892).]
[La Revue blanche (25 janvier 1893).]
Ouvrage du malheur, et non des années, elles ressemblent aux cheveux blancs sur la tête de la jeunesse.
Ô Falconet, comment as-tu fait pour mettre dans un morceau de pierre blanche la surprise, la joie et l’amour fondus ensemble.