Mais Wilde est jeune, il a devant lui tout un avenir, et il a prouvé, par des œuvres charmantes et fortes, qu’il pouvait beaucoup pour la beauté et pour l’art. […] Cherbuliez… Un grand avenir. » Je nageais en pleine Grèce, alors… Alcibiade… les vases étrusques… Épaminondas… je ne sais plus quoi encore ! […] Reinach continua : — Eh bien… j’ai rêvé… je rêve à être, dans un avenir prochain… oh ! […] l’avenir ! […] — Tout le monde le voit… L’avenir, c’est le présent de demain.
Voici le début de sa préface : « Ce que l’avenir nous garde, Dieu le sait !
En un mot, quand on a souci de l’avenir, quand, sans avoir la vanité de croire à rien de glorieux, on se sent du moins le désir permis d’être en un rang quelconque un témoin honorable de son temps, on a toutes les précautions à prendre : on ne saurait trop faire navire et clore les flancs, pour traverser, sans sombrer, les détroits funestes.
Elles se prêtent à deux nécessités également impérieuses pour l’historien : elles lui permettent de construire l’histoire en constituant des groupes naturels parmi le monceau des faits ; elles lui permettent aussi de faire une place au mystère, à l’inexpliqué, de laisser dans sa construction des lacunes que pourra combler l’avenir, sans qu’il ait à détruire des explications problématiques ou erronées.
Le purgatoire surpasse en poésie le ciel et l’enfer, en ce qu’il présente un avenir qui manque aux deux premiers.
Le dessein de leur être utile, est même un des motifs qui m’engagent à publier ces reflexions que je donne comme les répresentations d’un simple citoïen qui fait usage des exemples tirez des tems passez, dans le dessein de porter sa republique à pourvoir encore mieux à l’avenir.