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624. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre sixième »

Des liaisons de Boileau avec Racine, Molière et La Fontaine, et de son influence sur ses amis. — § IX. […] Il faut lire les éloges qu’il met au-devant des livres de ses amis. […] Tout autour de Boileau, l’admiration publique se portait sur d’autres que ses amis. […] Des liaisons de Boileau avec Racine, Molière et La Fontaine, et de son influence sur ses amis. […] N’ôtons à aucun la part qu’il a eue, comme juge supérieur, comme conseiller sincère, dans les œuvres de ses amis.

625. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Dazincourt était le confident, mais non pas l’ami intime de son maître. […] l’ami, êtes-vous un courtisan ? […] Molière a été pleuré par ses amis, Regnard a été pleuré par ses maîtresses. […] Quand Forlis arrive chez son ami, son ami S’écrie qu’il a mal choisi l’heure : C’est mon ami, je vais l’embrasser simplement. […] portrait de mon amie !

626. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Le Fèvre-Deumier, Jules (1797-1857) »

Eugène Crépet Il a, dans ses volumineuses œuvres, laissé d’admirables vers que les plus illustres contemporains signeraient hardiment, et cependant c’est à peine si son nom est sorti de cette pénombre qui confine à l’oubli… Entre toutes ces pièces, une surtout fut remarquée c’est celle qui a pour titre : Hommage aux mânes d’ André Chénier , et qui se termine par ces vers : Adieu donc, jeune ami, que je n’ai pas connu un de ces vers-proverbes qui profitent plus au public qu’à leur auteur, car tout le monde s’en souvient et les cite, sans que personne puisse dire qui les a écrits. […] Édouard Fournier Son Hommage aux mânes d’ André Chénier est une page éclatante, de laquelle se détache ce beau vers qui est resté : Adieu donc, jeune ami, que je n’ai pas connu.

627. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 289-290

Ami de Ronsard, il se laissa d’abord éblouir par le faux brillant de sa Poésie ; mais il reconnut bientôt son erreur, pour s’attacher à la maniere de Desportes, qui étoit aussi son ami, & qui pouvoir lui servir de modele pour la douceur & le naturel de ses vers ; il le surpassa même par la pureté de son style & la sagesse de sa Muse.

628. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 398-399

le Brun est l’ami de M. […] Clément, qui a trop fait sentir qu’il étoit son ami : il est cependant vrai que les morceaux qu’il cite de M.

629. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Alexandre Dumas fils — CHAPITRE IX »

Son agonie trouva, dit-on, des amis fidèles pour essuyer ses sueurs et bercer ses angoisses. […] Marguerite a eu autrefois pour amant un jeune comte qui est resté « un ancien ami à elle », comme dit la Bettine d’Alfred de Musset. […] Cependant, arrive un de ses amis de collège, M.  […] Il a un rendez-vous, le soir même, avec une femme du monde, une grande dame, et, ne sachant où loger son tête-à-tête, il a pensé à son ami Paul. […] Mais n’oublions pas une douce figure, modestement reléguée sur le second plan : celle de Marceline, l’amie de la comtesse, une amie dévouée qui raccompagne et la relève, avec des pudeurs d’ange gardien, dans le sentier glissant de sa perdition.

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