À ces contrastes de guerre et de douceur domestique, à cette harmonie de voix virginales célébrant une reine, Ennius, pour ses spectateurs romains, laboureurs et soldats, substituait, non pas un chœur, mais un dialogue de soldats grecs ennuyés de leur station en Aulide, et répétant avec ce cliquetis de mots qu’affecte le rhythme grossier des premiers temps : « Qui ne sait user du loisir162 a dans le repos plus d’affaires que l’homme affairé à son affaire.
Mais, pour la robe, c’est une autre affaire. […] Je ferais un volume de citations sur cette affaire. […] Ça, c’est une affaire de définitions. […] J’ai vu que cet hymen ajustait vos affaires. […] Voilà mon affaire. » Il observe M.
La politique a été très-vive ce mois-ci ; le ministère Guizot s’est trouvé plus malade qu’il ne le croyait, et il a failli succomber sur l’affaire de Taïti ; il serait même tombé s’il avait interprété le sentiment public, mais ce sont des choses que les gouvernants n’entendent pas à demi-mot.
Un matin, le barbier me dit d’un air joyeux : « Monsieur, la bonne affaire !
Tout le monde, en effet, a deviné le motif qui amenait le poëte devant le roi75 ; et ce motif n’était pas seulement une affaire privée : c’était aussi, et avant tout, une grave question d’art et de liberté que M.
2º Avec l’école de Malherbe et de ses successeurs classiques, la littérature française se rapprocha davantage du caractère latin, quelque chose de clair, de précis, de concis, une langue d’affaires, de politique, de prose ; Corneille, Malherbe, Boileau n’avaient que très peu ou pas du tout le sentiment grec.