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379. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177

Le Festin de Pierre, acte V, scène ii. […] Schiller, Les Brigands, acte Ier, scène ii. […] Les Brigands, acte Ier, scène ii. […] Les Brigands, acte Ier, scène ii. […] Les Brigands, acte Ier, scène ii.

380. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome II pp. 1-419

Cependant ce premier acte n’est pas le plus faible des cinq. […] Le ridicule de ce troisième acte fait le plus grand honneur à son caractère. Le quatrième acte est celui où l’auteur a le plus inventé. […] Au second acte, nous assistons au mariage de Pauline et de Claude. […] Dans tous les ordres d’études, ces esprits indolents sont voués à la même destinée : en croyant faire acte de modestie, ils font acte de vanité.

381. (1869) Cours familier de littérature. XXVIII « CLXIVe entretien. Chateaubriand, (suite.) »

Il dut sa popularité politique à un mauvais acte, et il s’obstina à la conserver et à la raviver pendant toute l’époque qui sépare 1814 de 1815. […] Il y a deux actes que la postérité ne pardonnera jamais à l’ambition de la maison d’Orléans : le vote de mort contre Louis XVI en 1793, et l’accouchement public de la duchesse de Berri, à Blaye, en 1831. […] Différentes circonstances pénibles amenèrent des réductions et des modifications à cet acte, et le revenu en fut successivement modifié et borné. […] Mais la vie et la mort ne sont pas une bienséance, elles sont un acte de foi ; on peut honnêtement dire : Je doute, mais je respecte. […] Voltaire est parfait dans sa prose ou dans ses facéties en vers, mais on craint de rire de soi-même en riant avec lui ; le dernier mot de toute chose n’est pas un éclat de rire, c’est un acte d’adoration ; une moquerie n’est pas la sagesse ; tout détruire n’est rien fonder.

382. (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252

Bazin, malgré les actes découverts par M.  […] Ainsi, d’un côté un acte de mariage bien authentique, d’un autre les conjectures de M.  […] Hormis son père et son beau-frère, aucun d’eux, en 1662, ne signa son acte de mariage. […] Outre qu’une pièce en un acte et en prose était alors une nouveauté, le titre de celle-ci n’avait pas peu servi à exciter une curiosité générale. […] On a assez généralement regardé L’Amour médecin comme le premier acte d’hostilité de Molière contre la Faculté.

383. (1874) Premiers lundis. Tome I « Alexandre Duval de l’Académie Française : Charles II, ou le Labyrinthe de Woodstock »

Des petits vers, quelques couplets, quelques brochures légères, deux tragédies, quelques comédies en un, deux ou trois actes, le conduisaient doucement à l’Académie, où la considération et les pensions l’attendaient. » Il y a dans ce dernier trait quelque chose d’équivoque et de presque épigrammatique à quoi l’on pourrait se méprendre ; mais M.  […] Lorsque la Révolution fut venue déranger quelque peu ces petites existences littéraires, au lieu des lectures dans les salons, on eut les Déjeuners dominicaux : c’est là que, durant quinze années au moins, les convives littérateurs se faisaient leurs confidences réciproques entre la poire et le fromage ; c’est là qu’on racontait à ses amis le sujet, le pian de son ouvrage, avant d’en avoir écrit une seule ligne ; à peine les premiers actes étaient-ils jetés sur le papier que l’on en faisait une lecture. […] Charles II, ou le Labyrinthe de Woodstock, comédie en trois actes, en prose, précédée d’une notice sur l’état actuel des théâtres et de l’art dramatique en France ; par M. 

384. (1874) Premiers lundis. Tome II « Thomas Jefferson. Mélanges politiques et philosophiques extraits de ses Mémoires et de sa correspondance, avec une introduction par M. Conseil. — I »

Ce fut là, si j’ose dire, le trait principal, l’acte essentiel et souverainement méritoire de la vie publique de Jefferson. […] De tous les actes de sa vie, c’est assurément celui dont Jefferson s’applaudissait le plus. […] La première constitution fédérale, décrétée en 1778 dans la troisième année de l’Indépendance, subsista sans inconvénient tant que dura la guerre ; l’esprit des peuples, excité par le danger et réuni dans un intérêt commun, servait de supplément à l’acte fédéral et les portait spontanément aux efforts les plus énergiques ; mais la guerre une fois terminée et chacun réinstallé dans ses foyers, on accorda moins d’attention aux demandes du Congrès.

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