. — Dimitri, opéra en 5 actes (1876). — Les Ailes d’or (1878-1880). — Myrrha, saynète romaine (1880). — Monsieur, comédie-bouffe en 3 actes (1880). — Le Pays des roses (1880-1882). — Galante Aventure, opéra-comique en 3 actes (1882). — Le Chemin des étoiles (1882-1885). — Les Malheurs du commandant Laripète (1882). — Les Farces de mon ami Jacques (1882). — Mémoires d’un galopin (1882). — Le Péché d’Ève (1882). — Pour faire rire (1882). — Le Filleul du Docteur Frousse-Cadet (1882) […] — Mme Dandin et Mlle Phryné (1883). — Les Bêtises de mon oncle (1883). — Contes grassouillets (1883). — Chroniques du temps passé (1883). — Aline, 1 acte, en vers (1883). — Henri VIII, opéra en 4 actes et 6 tableaux (1883). — En pleine fantaisie (1884). — Contes pantagruéliques (1884). — Le Livre des joyeusetés (1884) […] — Histoires belles et honnestes (1884). — Pedro de Zanalea, opéra en 4 actes (1884). — La Tési, 4 actes (1884). — Le Dessus du panier (1885). — Les Cas difficiles (1885). — Contes à la comtesse (1885). — Contes de derrière les fagots (1886). — Histoires inconvenantes (1887). — Le Livre des fantaisies (1887) […] — Gauloiseries nouvelles (1888). — Au pays du rire (1888). — Fabliaux gaillards (1888). — Jocelyn, opéra en 4 actes (1888). — Roses d’octobre (1884-1889). — L’Or des couchants (1889-1892). — Contes à la brune (1889). — Contes audacieux (1890). — Histoires joviales (1890). — Contes salés (1891). — Le Célèbre Cadet-Bitard (1891). — Sapho, pièce en 1 acte, en vers (1891). — Le Commandant Laripète, opérette-bouffe en 4 tableaux (1891). — Grisélidis, comédie en 3 actes, en vers libres, avec Eugène Morand (1891) […] Nous avons lu ses vers en épreuves ; nous ne savions pas encore son nom : notre admiration n’est donc pas un acte de complaisance.
Depuis ce temps, l’usage a toujours continué de donner de ces pièces d’un acte, ou de trois, après les pièces de cinq. […] C’est une pièce en un acte, où il entre un peu de caractère, et dont l’intrigue est comique par elle-même. […] Il semblait qu’un sujet ainsi traité ne dût fournir qu’un acte. […] C’est la seule petite pièce en un acte, où il y ait de la grâce et de la galanterie. […] Molière n’a jamais fait que deux actes de cette comédie ; le roi se contenta de ces deux actes dans la fête du Ballet des Muses.
Ce n’est point sans vérité que l’on a constaté que les grandes passions sont muettes et sont inhabiles à se dépeindre : de fait elles ne se connaissent pas, toute leur force, tendue vers l’acte, est aveugle sur elle-même. […] La tendance à accomplir des actes avec perfection, en vue seulement de leur utilité et sans aucun souci de leur valeur représentative, a pour conséquence un automatisme dès qu’elle est réalisée. Cet automatisme, qui semble probable en ce qui touche aux actes pourtant complexes de certains insectes, les abeilles, les chenilles, les fourmis, qui semble le cas normal en ce qui touche à toutes les fonctions gouvernées par le grand sympathique, respiration, digestion, circulation du sang, cet automatisme se peut observer également à l’égard de toute une série d’actes habituels qui sont exécutés tout d’abord sous le regard de la conscience, mais qui, enregistrés par l’organisme d’une façon parfaite, s’accomplissent par la suite inconsciemment. Ces actes cessent en quelque sorte d’exister pour celui qui les accomplit dans le moment qu’il les accomplit. Ils ne témoignent par la suite qu’ils furent pourtant accomplis, que par leurs conséquences, perçues et appréciées en un temps postérieur, alors que la complexité des nouveaux actes à commettre a fait surgir chez l’individu l’apparition de la conscience.
(Acte II, scène 6.) […] Toutefois, cet acte est violent. […] La sédition des cinquièmes actes classiques a fait son temps ; le duel des cinquièmes actes (1850) a fait son temps. […] que cette fin d’acte est belle ! […] Nous ne l’avons pas vue depuis le premier acte.
. — Le Roman du village, comédie en vers, en un acte (1853). — Paris démoli (1853). — Les Lanternes (1854). — L’Esprit des autres (1855). — Variétés historiques et littéraires (1855-1863). — L’Hôtesse de Virgile, comédie en un acte et en vers (1859). — Le Vieux neuf (1859). — Énigmes des rues de Paris (1860). — Histoire du Pont-Neuf (1862). — Corneille à la butte Saint-Roch, comédie en un acte et en vers (1862). — La Fille de Molière, comédie en un acte et en vers (1863). — L’Espagne et ses comédiens (1864). — L’Art de la reliure (1864). — Racine à Uzès, comédie en un acte et en vers (1865). — La Valise de Molière, comédie en un acte et en prose (1868). — Gutenberg, drame en cinq actes et en vers (1869). — Le Théâtre et les pauvres (1869). — Les Prussiens chez nous (1871). — Le Théâtre français au xvie et au xviie siècle (1871). — La Farce de Maître Pathelin, avec traduction en vers modernes (1872). — Histoire de la butte des Moulins (1877). — Le Mystère de Robert-le-Diable, transcrit en vers modernes (1879) […] Coppée, si nous n’en avions pas eu cinq actes !
Bergerat, Émile (1845-1923) [Bibliographie] Une amie, comédie en un acte, en vers (1865). — Les Deux Waterloo (1866). — Le Maître d’école (1870). — Poèmes de la guerre (1871). — Père et mari, drame en trois actes (1871). — Ange Bosari, drame en trois actes, avec Armand Silvestre (1873). — Séparés de corps, comédie en un acte (1873). — Théophile Gautier, entretiens, souvenirs et correspondances (1879). — Le Nom, comédie en cinq actes (1883) […] — Le Faublas malgré lui (1883). — Bébé et Cie (1884). — Mes Moulins (1885). — La Nuit bergamasque, tragi-comédie en trois actes (1887). — Le Livre de Caliban (1887). — Figarismes de Caliban (1888). — L’Amour en République (1889). — Le Rêve de Caliban (1890). — L’Espagnol (1891). — Théâtre en vers, 1884-1887 (1891). — Le Salon de 1892. — Les Soirées de Calibangrève (1892). — La chasse au mouflon (1893). — Les Drames de l’honneur ; le Chèque (1893). — La Vierge (1894). — Le Capitaine Fracasse, comédie héroïque, tirée du roman de Théophile Gautier, cinq actes et sept tableaux (1896). — Le Cruel Vatenguerre (1898). — Plus que reine (1899). — Théâtre (1900). […] Mais le même jour il était « reçu » à la Comédie-Française où il avait déposé un acte en vers, titre : Une amie. […] Francisque Sarcey Il y a dans Manon Roland une très belle scène, qui était précisément la scène à faire, au quatrième acte ; un fort joli acte d’intermède, le second ; un dénouement pathétique ; c’en est assez pour exciter la curiosité du public et justifier le succès.