Cuvier, qui se liguèrent à mon insu, en 1830, dans une cabale de grands hommes, pour me faire entrer à l’Académie française.
Le plus séduisant, le plus naïf et le plus sincère des chansonniers de tous nos siècles chantants, Désaugiers, introduisit Béranger dans cette académie des couplets de table.
(A obtenu en 1905 le prix de 5 000 fr. de l’Académie Féminine de La Vie Heureuse).
Elle répudiait le dogmatisme mensonger des académies, leurs doctrines surannées ; elle seule avait pénétré la nature et voulait la reproduire dans toute sa sincérité ; c’est-à-dire sans ornement, sans arrangement fictif, sans réticence. » « A la bonne heure !
Jackson), Recherches cliniques et physiologiques sur le système nerveux, première partie (analysée dans La Revue philosophique, fév. 1876) ; les mêmes idées se retrouvent, mais plus enveloppées, dans Luys, Etudes sur le dédoublement des opérations cérébrales (Bulletin de l’Académie de médecine, 13 mai 1879, p. 528-529). — Cf.
Ces malins n’ignorent pas que leurs molles jérémiades touchant « l’extinction du sentiment religieux » leur vaudront force écus tirés des caisses ecclésiastiques, des couronnes de persil à l’Académie et l’estime des farceurs austères qui recommandent, après boire, la discipline et les bonnes mœurs à la démocratie. […] Ne vous laissez pas décorer, ne fondez pas d’écoles, ne fréquentez pas chez les journalistes influents, n’envoyez pas vos livres aux vieillards mous des Académies, restez les parias radieux que vous devez être, ne vous prenez pas pour des Eschyle ou des Salomon, — et je vous distribuerai, encore un de ces jours, des brins de laurier cueillis, spécialement pour vous, au bord d’un Permesse que j’ai découvert et qui a bien son mérite.