Le fond de la poésie de La Fontaine, c’est cette spontanéité, cette richesse des émotions, qui, dans la vie réelle, en font le plus incorrigible des fantaisistes ; c’est la simplicité, l’absolue et immobile raie irréflexion (en un sens) de l’expression qu’il leur donne.
Je m’étonne qu’on n’ait pas encore songé à envoyer au chevet des moribonds hostiles à l’ordre de choses actuel des conseillers d’État chargés de les convertir à la vraie politique, c’est-à-dire aux joies pures du pouvoir absolu.
De fait, cet individualisme pédagogique absolu est insoutenable ; car après tout l’homme vit en société et ce fait implique pour lui la nécessité d’une discipline éducative.
C’est un fait juif, en ce sens que le judaïsme dressa pour la première fois la théorie de l’absolu en religion, et posa le principe que tout novateur, même quand il apporte des miracles à l’appui de sa doctrine, doit être reçu à coups de pierres, lapidé par tout le monde, sans jugement 1153.
La seconde, la seule déesse, celle que sa splendeur même cache aux faibles yeux de la foule, est « absolue ».
Et puis, pourquoi nous mettre dans cette alternative absolue d’avoir à choisir entre les deux espèces de roués ?