Aux lieux, pour qu’on ne fasse pas de nos églises des salles de spectacle, comme il n’arrive que trop souvent dans de certaines maisons de religieux, & de religieuses. […] Il ne rapproche point les anciennes pièces des nouvelles ; il n’examine point si ce qu’on dit des unes peut s’appliquer aux autres ; si les farces qu’on représentoit sous les empereurs payens, & contre lesquelles les pères de l’église lançoient tant d’anathêmes, ont quelque chose de commun avec nos pièces régulières ; si les changemens arrivés à nos mœurs n’ont pas amené ceux du théâtre.
L’insatiable feu des voluptés l’altère, Il ouvre son cœur vide à, la gloire ; il attend Comme une église où va tonner l’orgue éclatant : Il espère, il a soif d’aimer, il aime, il doute Et, buttant la fatigue, il traîne sur sa route L’effroi des jours qu’il faut pour atteindre en marchant Le bas du ciel rougi par le soleil couchant. […] L’Église l’a compris qui identifiait le faune à ses démons.
Dernièrement, n’annonçait-on pas solennellement, pour le Vendredi-Saint prochain, un dîner gras de Solidaires au Grand-Hôtel, où l’on pourrait manger contre Dieu et son Église, même sans faim et sans plaisir ; car manger est une sensation vivante, passionnée, et d’un autre temps que ce temps de crevés exsangues où l’on fait tout sans jouir, même le péché. […] il se fait humblement le frère quêteur du document humain, et mendie en son nom comme un pauvre d’église sous un porche !
Il regardait travailler au tombeau du Cid, dont le général Thiébault a fait recueillir les fragments dans une église brûlée, et qu’il fait remonter dans une petite promenade qu’il a plantée sur le bord de l’Arlançon, au milieu de la ville, au-dessous de la terrasse qui a servi jusqu’à présent de promenade.
L’Église, en littérature, est somme toute moins dogmatique que l’Université.
Il n’est d’aucune spécialité, d’aucune école, d’aucune église.