/ 1968
1805. (1856) Cours familier de littérature. I « IIIe entretien. Philosophie et littérature de l’Inde primitive » pp. 161-239

Chacune de ses pensées réalisées est aussi grande que l’autre, puisqu’elle est également de lui et en lui. » Elle dit : « Nous sommes une de ses créatures, une de ses pensées réalisées, ni plus grande, ni plus petite que toute autre de ses créatures.

1806. (1857) Cours familier de littérature. III « XIIIe entretien. Racine. — Athalie » pp. 5-80

Ce genre tenait le milieu entre l’églogue et le drame, il participait également de Théocrite et d’Euripide, des églogues de Virgile et des scènes de Sophocle : seulement ici c’était non seulement une idylle héroïque, mais une idylle sainte.

1807. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre premier. Le Moyen Âge (842-1498) » pp. 1-39

. — Par là s’explique également le nombre et la diversité des branches du Roman de Renart : — sur toute l’étendue du territoire l’épopée animale sert de cadre banal, et pour ainsi dire de « passe-partout » à la satire ; — on s’attache d’ailleurs à imiter plus exactement les mœurs des animaux ; — et de tout cela résulte quelque chose d’analogue à « l’ample comédie » de La Fontaine ; — mais d’un La Fontaine qui ne serait pas artiste ; — ni peut-être poète.

1808. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Edgar Poe »

Grâce à cette traduction supérieure, qui a pénétré également la pensée de l’auteur et sa langue, nous avons pu aisément juger de l’effet produit par l’excentrique américain.

1809. (1868) Curiosités esthétiques « I. Salon de 1845 » pp. 1-76

Et enfin, il y a tant de bourgeois parmi les artistes, qu’il vaut mieux, en somme, supprimer un mot qui ne caractérise aucun vice particulier de caste, puisqu’il peut s’appliquer également aux uns, qui ne demandent pas mieux que de ne plus le mériter, et aux autres, qui ne se sont jamais doutés qu’ils en étaient dignes.

1810. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XVIII. »

Ne retrouve-t-on pas également ici, sous les humbles refrains de la prière chrétienne, un souffle du génie qui dans ces mêmes fêtes avait animé jadis la voix et la lyre ?

/ 1968