/ 1458
340. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 120-121

On peut en dire autant de l'Histoire Romaine, poussée jusqu'à la fin de la République, avec cette différence que dans celle-ci l'Historien est plus judicieux, moins diffus, & plus animé.

341. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Baudouin » p. 233

Je l’aurais faite grande, droite, intrépide, telle à peu près que Tacite nous montre la femme d’un général gaulois passant avec noblesse, fièrement et les yeux baissés entre les files des soldats romains.

342. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 385-387

L’édition qu’il a donnée de Tacite, est la meilleure réfutation du sentiment de ceux qui prétendent qu’on ne sauroit bien écrire dans une langue morte ; non seulement elle offre la connoissance la plus profonde de la Langue Latine, mais encore l’imitation la plus heureuse du meilleur Historien qu’aient eu les Romains.

343. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 427-429

Le meilleur Ouvrage de l'Abbé de Vertot est, sans contredit, l'Histoire des Révolutions Romaines ; le style en est noble, élégant ; la narration rapide, & pleine de chaleur ; les portraits en sont intéressans, quoique tracés, la plupart, d'imagination ; les réflexions, naturelles, mais peu profondes.

344. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Reboul, Jean (1796-1864) »

Le sincère enthousiasme de notre brave conteur gagna tout le monde, et chacun, allant à Nîmes, se proposait de voir Reboul avant les Arènes, ce géant romain !

345. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 406-407

Cet Ouvrage fut d'autant plus accueilli du Public, que les antiquités, les loix, les usages & les mœurs privées des Romains, n'avoient encore été expliqués que d'une maniere confuse & peu instructive.

346. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Granier de Cassagnac » pp. 277-345

« Parce qu’il y a — dit l’auteur des Origines de la langue française — dans le français, l’espagnol et l’italien, des mots usuels qui sont aussi dans le latin, la solution explicative qu’on adopta fut d’affirmer qu’après avoir soumis les peuples de l’Italie, de la Gaule et de l’Espagne, les Romains les avaient obligés de remplacer leur langue nationale par la latine, ce qui choque violemment, — ajoute-t-il, — et à un égal degré, le bon sens, l’histoire et la philologie. » La thèse, du reste, posée ainsi, fut plus tard modifiée. […] Ainsi, il l’est quand il fait si exactement la décomposition de la légion romaine pour y trouver les différents dialectes qu’elle renfermait dans son sein. […] Ainsi, il l’est surtout, et mieux qu’ailleurs, dans le superbe onzième chapitre de son ouvrage, où il raconte, dans le style ferme qu’on lui connaît, la prise de Rome, avec la gravité romaine. […] Bien loin donc d’avoir été étouffée par la langue latine, — qui n’est pas elle-même la langue du Latium, de ce pays que les Romains lettrés, ces Grecs de Rome, appelaient barbare, comme les Gaulois, — la langue gauloise aurait donc résisté à la langue romaine de la conquête romaine, et c’est ainsi que pour les temps futurs elle eût gardé sa nationalité inviolable et, qu’on me passe le mot !

347. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre quatrième »

Le ciel sembloit estre exempt de leurs mains ; Et toutefois les bons pères romains, Pour servir Dieu que mieux connoistre ils surent, Y prirent siege, et les clefs en reçurent ; Or, maintenant, leurs riches successeurs Pour estre encor plus amples possesseurs, Et leurs acquets augustes imiter, Ont pris enfer, et y vont habiter. […] L’étude et l’imitation des anciens. « Sans l’imitation des Grecz et des Romains, dit-il, nous ne pouvons donner à nostre langue l’excellence et lumière des aultres plus fameuses. » Et ailleurs : « Il est une forme de poésie beaucoup plus exquise, laquelle il fauldroit chercher en ces vieux Grecz et Latins, non point ès auteurs françois pour ce qu’en ceux-cy on ne sçauroit prendre la chair, les oz les nerfz et le sang. » Et ailleurs : « Ly donques et rely premièrement ô poète futur ! […] Il a une si haute idée de la poésie, qu’il va jusqu’à demander l’institution d’une sorte de juge des vers, d’un Quintilius Varus, investi de la censure publique, et qui ne délivrerait le droit d’imprimer qu’au « poëte qui auroit enduré sa lime. » L’enthousiasme le plus naïf éclate dans l’exhortation que Du Bellay adresse, en finissant, aux poëtes et aux doctes de la Brigade : « Là donc, François, s’écrie-t-il, marchez courageusement vers cette superbe cité romaine, et de ses despouilles ornez vos temples et vos autels. […] Il est si Grec et si Latin, qu’à tous ceux qui ne savent que le français, il déclare que l’entrée de ses vers leur est fermée : Les François qui mes vers liront, S’ils ne sont et Grecs et Romains, Au lieu de ce livre ils n’auront Qu’un pesant faix entre les mains92.

348. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « L’abbé de Marolles ou le curieux — II » pp. 126-147

Il a témoigné sa piété et la force de son génie dans la traduction du Nouveau Testament, dans celle du bréviaire romain et de quelques autres pièces saintes, dont il a fait sa principale occupation. […] M. de Marolles a traduit les poètes romains en notre langue française, avec une naïve expression, rendant pensée pour pensée autant qu’il l’a pu faire pour ce qui est de ceux qui ont gardé étroitement les lois de la pudeur ; et pour les autres il a touché si adroitement aux endroits périlleux qu’on peut dire qu’il les a purifiés. […] Dans la Défense qu’il présenta des versions françaises de l’Écriture sainte et des offices (1688), le savant docteur rappelle que si l’on condamnait la traduction du bréviaire romain de M. 

349. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Boileau »

Nous venons de dire que le sens du moyen-âge était déjà perdu depuis longtemps ; il n’avait pas survécu en France au xvie  siècle ; l’invasion grecque et romaine de la Renaissance l’avait étouffé. […] Et lorsque dans leurs idées de réforme, ils ont décidé de revenir à l’antiquité grecque et romaine, toujours fidèles à cette logique incomplète du bon sens qui n’ose pousser au bout des choses, ils se tiennent aux Romains de préférence aux Grecs ; et le siècle d’Auguste leur présente au premier aspect le type absolu du beau.

350. (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre V. Transition vers la littérature classique — Chapitre I. La littérature sous Henri IV »

Du Perron, notamment, use de science et de logique ; avec lui l’Eglise romaine se décide à discuter, et à démontrer. […] Deux œuvres mettent alors en lumière l’avortement du genre historique : d’abord l’admirable corps d’Histoires du président de Thou259, si exact, si informé, si impartial, et qui, écrivant en latin avec les mots et la couleur de Tite-Live, n’arrive qu’à faire un pastiche ; en second lieu la célèbre Histoire Romaine de M.  […] Il a écrit aussi un Tableau des passions humaines (1620) et l’Histoire romaine (1621). — A consulter : l’abbé Urbain, N.

351. (1864) William Shakespeare « Première partie — Livre I. Shakespeare — Sa vie »

Disons seulement que le plus ancien dont la tradition, la légende peut-être, ait gardé le souvenir, était un romain, Vipsanius Minator, qui employa son exil à augmenter, au profit de la domination de son pays, la muraille romaine dont on voit encore quelques pans, semblables à des morceaux de collines, près d’une baie nommée, je crois, la baie Sainte-Catherine. Ce Vipsanius Minator était un personnage consulaire, vieux romain si entêté de Rome qu’il gêna l’empire.

352. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre VI. Des Livres qui traitent de la Rhétorique. » pp. 294-329

Admirateur des Grecs & des Romains, il en devint l’heureux interprête. […] Et si l’éloquence des Philippiques de l’Orateur grec & de l’Orateur romain est une fausse éloquence, il n’y en eut jamais de vraie. […] On sçait que Ciceron avoit eu pour maître Clodius Esopus, le plus grand acteur qu’ayent eu les Romains dans le tragique ; & j’ai entendu dire que le Pere de la Rue avoir quelquefois consulté le célébre Baron.

353. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — L’inter-nationalisme »

L’antiquité grecque et l’antiquité romaine, dans leur tout-puissant individualisme national, peut-être justifié par le prodigieux avancement de leur civilisation sur celle des autres peuples connus d’eux, se servaient du même mot pour désigner les deux qualités distinctes d’étranger et d’ennemi. Barbaros, chez les Grecs, Hostis chez les Romains possédaient cette double signification.‌ Pour le petit monde hellénique, comme plus tard pour le monde romain, étranger était synonyme d’ennemi.

354. (1823) Racine et Shakspeare « Chapitre premier. Pour faire des Tragédies qui puissent intéresser le public en 1823, faut-il suivre les errements de Racine ou ceux de Shakspeare ? » pp. 9-27

» par cela seul qu’il applaudit, n’a pas l’illusion complète, car il applaudit Talma, et non pas le romain Manlius ; Manlius ne fait rien de digne d’être applaudi, son action est fort simple et tout à fait dans son intérêt. […] Dira-t-on que Catinat ou Luxembourg sont de plus grands capitaines que César, parce qu’ils avaient un parc d’artillerie, et prenaient en trois jours des places qui auraient arrêté les légions Romaines pendant un mois ?

355. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXVIII. Caractère essentiel de l’œuvre de Jésus. »

Les pays grecs et romains n’entendirent pas parler de lui ; son nom ne figure dans les auteurs profanes que cent ans plus tard, et encore d’une façon indirecte, à propos des mouvements séditieux provoqués par sa doctrine ou des persécutions dont ses disciples étaient l’objet 1233. […] Le despotisme romain ne se fit sentir d’une façon désastreuse que beaucoup plus tard, et d’ailleurs il fut toujours moins pesant dans ces provinces éloignées qu’au centre de l’empire.

356. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre VIII. Des romans. » pp. 244-264

M. de Marmontel vouloit se faire lire par les femmes, & il a pensé sans doute que ç’auroit été les dépaïser trop, que de peindre les Grecs en Grecs & les Romains en Romains.

357. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXV. Mme Clarisse Bader »

qui ose aujourd’hui l’histoire, a consacré à la Femme (genre et espèce), sa puissance de talent et ses travaux historiques… Elle a déjà écrit la Femme de l’Inde, la Femme de la Bible, la Femme grecque et la Femme romaine, et elle nous promet la Femme chrétienne, la Femme du moyen âge et la Femme moderne. […] III Certainement les quatre livres sur la femme indienne, biblique, grecque et romaine de Mlle Clarisse Bader expriment la volonté d’être une histoire, et une histoire particulièrement intéressante, puisque c’est l’histoire d’une influence et de la plus puissante des influences sur les hommes ; mais cette histoire reste toujours à faire, et celle-ci n’est guère qu’un placage historique, plus ou moins industrieusement exécuté.

358. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Le comte du Verger de Saint-Thomas »

Sous cette république, si peu romaine, dont nous avons le bonheur de jouir, — car sous la république romaine on ne se battait pas, — sous cette république inconséquente, où l’on continue de se battre comme sous la détestable monarchie, et où l’austère républicain Dufaure rumine sur le duel une loi lente à venir, voici un homme, d’une exécution plus rapide, qui publie, lui, non pas une loi, mais tout un Code nouveau du Duel 30.

359. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Le colonel Ardant du Picq »

Eh bien, c’est cet esprit-là, — l’esprit historique, — si rare dans ce siècle, où le passé est traité insolemment de vieille barbe et de vieille guitare par des polissons qui auraient méprisé le sénat romain dans sa majesté, comme les Gaulois leurs ancêtres ! […] C’est éternellement l’âme de l’homme élevée à sa plus haute puissance par la discipline, c’est le ciment romain de cette discipline qui fait des hommes d’indestructibles murs ; c’est la cohésion, la solidarité entre les soldats et les chefs, c’est l’ascendant moral dans l’impulsion, qui donne la certitude de vaincre !

360. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Rigault » pp. 169-183

Je suis sûr que les oies romaines, les sots capitolins, criaient toujours quand il passait… Horace est de la famille de La Fontaine ; mais un parent pauvre, car il n’a pas la naïveté, cette scélératesse de l’innocence, cette perle qu’on n’avait pas vue avant La Fontaine et qu’on n’a pas revue depuis ! […] Poétiquement, Horace me fait l’effet d’une espèce de Ronsard romain, mais avec beaucoup plus de goût, de mesure, de tact que le Ronsard français, et avec une bien autre langue, une langue dans laquelle Virgile avait chanté !

361. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « La Papesse Jeanne » pp. 325-340

Mais la chose importante, qui va à fond, le trait à emporter, c’est la dissertation historique qui établit, ou qui tente d’établir, un point de fait qu’on croit déshonorant pour l’Église romaine, et avec lequel il s’agit de la déshonorer. […] Il n’y a là partout que la légende seule, la légende, absurde et abjecte, mise à confire, pour la servir aux friands, dans d’exquises malpropretés de détails, par ce pudibond et roséabond Rhoïdis, dont la vertu fait des gorges si chaudes des vices de l’Église romaine et nous en fait aussi de telles peintures… par pudeur !

362. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « IV. M. Henri Martin. Histoire de France » pp. 97-110

Elle fut, en ce qui nous concerne, nous Français, un jour franque et romaine avec l’abbé Dubos, un autre jour féodale avec Boulainvilliers. […] , une Messie, tuée comme l’autre Messie, par des prêtres et des Pharisiens, est — après tout — une druidesse, une fille libre des Gaules, opposant le génie gaulois au clergé romain, et — voyez ceci, bonnes âmes ! 

363. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. le vicomte de Meaux » pp. 117-133

L’Ordre teutonique n’écouta pas la voix du Pontife, et quand le Protestantisme s’empara de l’Allemagne catholique, il apostasia… Enfin, l’auteur des Luttes religieuses fait la distinction, que les ennemis de l’Église ne font jamais, entre l’Inquisition romaine et l’Inquisition espagnole, établie contre les Maures relaps, implacables ennemis des Espagnols, et que nulle hypocrisie, nul mensonge, nulle profanation n’effrayaient. […] Mais la Critique n’en doit pas moins louer l’écrivain d’avoir publié des pages si substantielles et si justes, qui éclairent un côté ignoré, quand il n’est pas faussé, de la grande politique de l’Église romaine.

364. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « III. Donoso Cortès »

Il n’a pas le monosyllabe, la paillette qui fait du fleuve un Pactole, la pointe acérée et étincelante, ce clou d’or, quand il n’est pas de diamant, qu’avait Joseph de Maistre, et qu’il fichait si bien, de sa main spirituelle, entre les blocs carrés et lisses de son style au ciment romain. […] Avec son seul livre de l’Essai, le marquis de Valdegamas s’est placé entre le comte de Maistre et le vicomte de Bonald, qu’on pourrait presque appeler les Pères laïques de l’Église romaine.

365. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « L’abbé Christophe »

Si les Grecs — dit très bien Rohrbacher — eussent été plus sincères dans leur volonté d’union avec l’Église romaine, naturellement les Chrétiens d’Occident auraient plus volontiers écouté les exhortations d’Eugène IV et de Nicolas V pour aller au secours de Constantinople, et certainement, avec des capitaines tels que Huniade et Scanderbeg, jamais Constantinople n’aurait péri sous le glaive des turcs. […] Le pouvoir religieux, l’unité romaine, la papauté, attaqués par toutes les démagogies sacerdotales, les ont vaincues.

366. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Agrippa d’Aubigné »

Tout le monde sait que son père lui fît faire, dès son âge de huit ans, contre les catholiques, le serment que le père d’Annibal avait fait faire à son fils contre les Romains, un jour qu’en passant à Amboise il avait vu sur un bout de potence les têtes coupées de plusieurs gentilshommes de son parti. […] Il en a souvent l’inspiration fière, la bonhomie sublime, les côtés héroïques, même dans l’amour, et le grand accent tout à la fois gaulois et romain.

367. (1904) Les œuvres et les hommes. Romanciers d’hier et d’avant-hier. XIX « Arsène Houssaye » pp. 271-286

Messaline, la romaine, n’est qu’une louve, mise bas par la louve de Romulus. […] Quand le monde romain et païen se mourait, c’était le monde physique qui finissait, le plus puissant monde physique qui eût jamais écrasé de son poids la terre, et il avait encore la force de rejeter, de son ventre épuisé, des arrière-faix comme Messaline.

368. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre IV. »

À part l’admiration dont Archiloque frappa les Grecs, nous savons qu’il fut un des modèles d’Horace, et que l’art si studieux et si vif du lyrique romain était tout parsemé de réminiscences d’Archiloque, d’Alcée, de Stésichore, de Sapho. […] Sa licence s’oublia, devant son art profond de langage ; on le médita comme Pindare et comme Homère lui-même ; et, dans cette riche série de modèles que le génie grec, à ses âges divers, offrit au goût laborieux des Romains, il fut l’objet de l’émulation des plus habiles.

369. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « IV » pp. 16-18

(Domi mansit, lanam fecit, épitaphe de la dame romaine primitive.)

370. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 167-169

Les plus répandus sont ses Observations sur les Grecs, celles sur les Romains, les Entretiens de Phocion sur le rapport de la Morale avec la Politique.

371. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 328-330

On trouve dans ses Considérations sur l’origine & la décandence des Lettres, chez les Romains, des vûes souvent profondes, & des réflexions assez justes ; mais un Ouvrage de cette nature exigeoit une finesse d’observation, & un discernement exquis, dont M.

372. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Dumont le Romain  » pp. 115-116

On trouverait cent traits de l’histoire grecque ou romaine auxquels cela reviendrait.

373. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LII » pp. 203-205

Rossi lui a répondu avec une justesse, une vérité, une finesse railleuse qui ont enlevé tous les suffrages ; on retrouvait dans le pair de France, devenu en ce moment l’organe de toute la Chambre, l’homme des États romains qui a vu de près l’Église et qui en a pratiqué l’histoire.

374. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 484-486

La premiere de ces Vérités est, qu’il n’y a qu’un Dieu & qu’une vraie Religion ; la seconde, que de toutes les Religions, la Chrétienne est la seule qui soit divine ; la troisieme, que de toutes les Communions du Christianisme, il n’y a que la Catholique Romaine qui soit la véritable Eglise.

375. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 412-415

L’Horace François a des Odes, des Cantates, des Epîtres qui feroient honneur à celui des Romains.

376. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Challe  » pp. 141-142

C’est que le choix du moment est vicieux ; il fallait prendre celui où cette femme altière déterminée à tromper l’orgueil romain qui la destinait à orner un triomphe, se découvre la gorge, sourit au serpent, mais de ce souris dédaigneux qui retombe sur le vainqueur auquel elle va échapper et se fait mordre le sein.

377. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIIIe entretien. Fior d’Aliza » pp. 177-256

J’étais particulièrement recommandé au cardinal-ministre que je voyais presque tous les jours chez la célèbre duchesse de Devonshire, patronne de tous les hommes de lettres et de tous les artistes romains. […] Harold s’éveille ; il voit grandir dans le lointain Les contours azurés de l’horizon romain ; Il voit sortir grondant, du lit fangeux du Tibre, Un flot qui semble enfin bouillonner d’être libre, Et Soracte, dressant son sommet dans les airs, Seul se montrer debout où tomba l’univers. […] À la place du fer, ce sceptre des Romains, La lyre et le pinceau chargent tes faibles mains ; Tu sais assaisonner des voluptés perfides, Donner des chants plus doux aux voix de tes Armides, Animer les couleurs sous un pinceau vivant, Ou, sous l’adroit burin de ton ciseau vivant, Prêter avec mollesse au marbre de Blanduse Les traits de ces héros dont l’image t’accuse. […] Sur des bords où la gloire a ranimé leurs os, Je vais chercher ailleurs (pardonne, ombre romaine !) […] Cette apostrophe finissait par ces deux vers : Je vais chercher ailleurs (pardonne, ombre romaine !)

378. (1890) L’avenir de la science « III » pp. 129-135

Elle semble, en effet, nous montrer le peuple le plus lettré succombant toujours sous le peuple le plus barbare : Athènes sous la Macédoine, la Grèce sous les Romains, les Romains sous les barbares, les Chinois sous les Mandchous. […] Il y a quelques mois, les Romains fondaient leurs cloches pour en faire de gros sous. […] Cette décadence peut-elle être mieux placée au IVe siècle, alors que l’œuvre de l’assimilation romaine est dans toute sa force, ou au Ve, alors que Rome impose sa civilisation aux barbares qui l’envahissent ? […] Est-ce sous la domination romaine, alors qu’elle est le berceau du christianisme ?

379. (1856) Cours familier de littérature. II « VIIIe entretien » pp. 87-159

Ce livre raconte en versets, dont chacun est un vers qui trouve son écho dans un autre vers, les pensées de Dieu, la création du monde en six grandes journées de l’ouvrier divin, qui sont peut-être des semaines de siècles ; la naissance du premier homme, son ennui solitaire dans l’isolement de son être, qui n’est qu’un morne ennui sans l’amour ; l’éclosion nocturne de la femme, qui sort, comme le plus beau des rêves, du cœur de l’homme ; les amours de ces deux créatures complétées l’une par l’autre dans ce premier couple dont le fils et les filles seront le genre humain ; leurs délices dans un jardin à demi céleste ; leur pastorale enchantée sous les bocages de l’Éden ; leur fraternité avec tous les animaux aimants qui parlaient alors ; leur liberté encore exempte de chute ; leur tentation allégorique de trop savoir le secret de la science divine, secret réservé seul au Créateur, inhérent à sa divinité ; leur faute, de curiosité légère chez la femme, de complaisance amoureuse chez l’époux ; leur tristesse après le péché, premier réveil de la conscience, cette révélation par sentiment du bien et du mal ; leur citation au tribunal divin ; les excuses de l’homme pour rejeter lâchement le crime sur sa complice, le silence de la femme, qui s’avoue coupable par les premières larmes versées dans le monde ; leur expulsion ; leur pèlerinage sur la terre devenue rebelle ; la naissance de leurs enfants dans la douleur ; le travail sous toutes les formes, premier supplice de l’humanité ; le premier meurtre faisant boire à la terre le sang de l’homme par la main d’un frère ; puis la multiplication de la race pervertie dans sa source ; puis le déluge couvrant les sommets des montagnes ; une arche sauvant un juste, sa famille, tous les animaux innocents ; puis la vie patriarcale, en familiarité avec des esprits intermédiaires appelés des anges, esprits tellement familiers qu’ils se confondent à chaque instant sur la terre avec les hommes, auxquels ils apportent les messages de Dieu ; puis un peuple choisi de la semence d’Abraham ; des épisodes naïfs et pathétiques, comme ceux de Joseph, de Tobie, de Ruth ; une captivité amère chez les Égyptiens ; un libérateur, un législateur, un révélateur, un prophète, un poète, un historien inspiré dans Moïse ; puis des annales pleines de guerres, de conquêtes, de politique, de liberté, de servitude, de larmes et de sang ; puis des prophètes moitié tribuns, moitié lyriques, gouvernant, agitant, subjuguant le peuple par l’autorité des inspirations, la majesté des images, la foudre de la langue, la divinité de la parole ; puis des grandeurs et des décadences qui montent et descendent de Salomon à Hérode ; puis l’assujettissement aux Romains ; puis un Calvaire, où un prophète plus surnaturel monte sur un autre arbre de science pour proclamer l’abolition de l’ancienne loi, et promulguer pour l’homme, sans acception de tribus, Juifs et païens, une loi plus douce scellée de son sang ; Puis une autre terre et un autre ciel pour l’univers romain devenu l’Europe. […] Après avoir été longtemps la Gaule semi-barbare sous ses druides, caste sanguinaire dont un système historique faux veut faire aujourd’hui une académie de platoniciens ; après avoir succombé sous les Romains, le flot des races orientales et des émigrations du Nord l’envahit, et la mélange d’un sang plus pur et plus raffiné que le sang gaulois. […] Deux siècles ont été perdus à calquer avec un génie fourvoyé les littératures grecque et romaine ; nous ne saurions assez le déplorer pour ces grands hommes qui ont consumé ainsi leurs forces et leur nom à être des reflets et des satellites de littératures éteintes, au lieu d’être les phares et les lueurs d’une pensée française et originale. […] XV Sans adopter le dédain véritablement blasphématoire que les littérateurs de l’école appelée romantique ont manifesté il y a quelques années contre le grand siècle littéraire de la France (le siècle de Louis XIV), nous ne pouvons nous dissimuler cette tendance servile à l’imitation des Grecs et des Romains qui a guidé, mais qui a enchaîné en même temps le génie littéraire français depuis Malherbe.

380. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 472-474

Il est moins connu par son Histoire Romaine, son Histoire des Indes, celle des Amazones, celle des Empires, & son Essai critique sur celui d’Occident, que par l’Oracle des nouveaux Philosophes.

381. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 9, comment on rend les sujets dogmatiques, interessans » pp. 64-66

On ne pouvoit pas entretenir les romains d’un sujet qui les interessât davantage.

382. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Argument » pp. 1-4

Ancienne histoire romaine.

383. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre II. Trois espèces de langues et de caractères » pp. 296-298

Le droit romain en conserva ses acta legitima, qui accompagnaient toutes les transactions civiles.

384. (1868) Curiosités esthétiques « V. Salon de 1859 » pp. 245-358

La plupart du temps, il ne s’agit dès lors que de transporter la vie commune et vulgaire dans un cadre grec ou romain. […] Nous savons tous assez l’histoire romaine pour nous figurer tout ce qui est sous-entendu, le désordre qui a précédé et le tumulte qui a suivi. […] La grande faculté, la principale, ne brille que comme les images des patriotes romains, par son absence. […] La beauté de style et de caractère qu’on a tant louée dans ses bustes de dames romaines n’est pas décidée ni parfaite. […] Tout le monde a loué fort justement son Taureau romain ; c’est vraiment un fort bel ouvrage ; mais, si j’étais M. 

385. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. J. J. AMPÈRE. » pp. 358-386

Ampère dans cette étude détaillée de la Gaule romaine, et pour le justifier, s’il en était besoin, par une large ouverture toute littéraire, je poserai en thèse que, sans avoir étudié à fond, comme il l’a fait, le ive  siècle et ses environs, on ne peut bien entendre toute une période très-importante de nos derniers âges littéraires, l’époque Louis XIII. En effet, un grand nombre des vrais précédents de l’époque et du goût Louis XIII en littérature sont aux iiie et ive  siècles de la Gaule romaine, comme les précédents naturels du goût et du genre Louis XIV sont plutôt à l’époque d’Auguste. […] Je note seulement encore sa grande image sur le gnosticisme, tome I, page 187, et celle sur les médailles d’argent des Grecs opposées aux médailles de bronze des Romains, I, 128.

386. (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 7761-7767

Si la chose est extremement particuliere, il se nomme talent ; s’il a plus de rapport à un certain plaisir délicat des gens du monde, il se nomme goût ; si la chose particuliere est unique chez un peuple, le talent se nomme esprit, comme l’art de la guerre & l’Agriculture chez les Romains, la Chasse chez les sauvages, &c. […] Enfin il nous fait voir le grand caractere d’Annibal, la situation de l’univers, & toute la grandeur du peuple romain, lorsqu’il dit : « Annibal fugitif cherchoit au peuple romain un ennemi par tout l’univers  » ; qui profugus ex Africâ, hostem populo romano toto orbe quaerebat.

387. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre premier »

François Ier songeait à faire renaître la légion romaine. […] On s’habillait à la mode des Grecs et des Romains, on leur empruntait les usages de la vie ; et, chose plus étonnante, on les imitait jusque dans l’acte le plus naturel et le plus involontaire, jusque dans la mort. […] Dans la pièce d’où sont tirés les vers qui précèdent Christine la Bergerette, c’est la primitive Église ; Simonne, c’est l’Église romaine.

388. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XVIII. Formule générale et tableau d’une époque » pp. 463-482

Bossuet sème ses discours chrétiens de latinismes, et quand il résume à l’usage de son royal élève l’histoire de l’humanité, c’est le peuple romain qu’il comprend le mieux et admire le plus. […] Mais les vrais contemporains du roi Louis XIV sont si exclusivement partagés entre l’admiration d’eux-mêmes et celle des Grecs et des Romains que la grande controverse littéraire du temps sera la querelle des anciens et des modernes. […] L’époque se rattache ainsi à la grande période classique qui commence à la Renaissance et va jusqu’au romantisme, période où l’imitation des Grecs et des Romains est un des traits essentiels de la littérature française, comme l’étude du grec et du latin est le fond de l’enseignement donné aux enfants de la noblesse et de la bourgeoisie riche.

389. (1769) Les deux âges du goût et du génie français sous Louis XIV et sous Louis XV pp. -532

Il n’est plus question de grands Orateurs, & jamais les Romains ne s’appliquerent aux Sciences exactes. […] Montesquieu raisonnait en homme d’Etat sur la grandeur & la décadence des Romains. […] Il n’était pas moins disert dans son Histoire Romaine, & n’y était pas plus Philosophe. […] On n’avait cherché des traits de patriotisme que chez les Grecs & chez les Romains. […] On peut dire de notre Opéra ce que M. de Voltaire a dit des Romains.

390. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Chateaubriand, François René de (1768-1848) »

— Études sur l’Empire romain (1831). — Voyages en Amérique, en France et en Italie (1834). — Essai sur la littérature anglaise (1836). — Le Paradis perdu de Milton (1836). — Le Congrès de Vérone (1838). — La Vie de Rancé (1844). — Les Mémoires d’outre-tombe (1849).

391. (1895) Histoire de la littérature française « Seconde partie. Du moyen âge à la Renaissance — Livre I. Décomposition du Moyen âge — Chapitre I. Le quatorzième siècle (1328-1420) »

La force du roi, c’est d’incarner pour le peuple l’unité de la conscience nationale, de représenter pour les lettrés la doctrine romaine de l’État souverain. […] D’autres le virent à Avignon, la ville du schisme, qui sous ses papes d’abord, puis ses légats, demeure du xive au xvie  siècle une porte ouverte à la civilisation italienne sur la France encore brute et grossière : au xive surtout, pendant le schisme, Avignon mit en contact et mêla Français du Nord et du Midi, Florentins, Romains, venus les uns pour en arracher le pape, d’autres pour l’y maintenir, d’autres pour toutes les sollicitations, intrigues ou marchandages publics et privés : nos Français, pour peu qu’ils fussent lettrés, ne tirent jamais le voyage pour rien, quand même ils se laissaient jouer ou battre. […] Cela, sans doute, est encore bien mêlé et bien confus : les constructions légères, familières, à la française, les tours plus graves, compassés, à la manière des orateurs romains, se coudoient, se mêlent, se choquent chez nos novices écrivains. […] Ce qu’il a déjà parfois d’harmonie et d’ampleur, ces larges développements où s’étalent le pathétique et l’onction, viennent d’un commerce habituel avec les chefs-d’œuvre romains.

392. (1858) Cours familier de littérature. V « Préambule de l’année 1858. À mes lecteurs » pp. 5-29

Le jardin qu’il aimait but le sang de son maître… De son bouquet sanglant ardente à se repaître, Fulvie, en recevant la tête dans son sein, Passa sa bague au doigt du tribun assassin ; Puis, dans l’organe mort pour punir la harangue, De son épingle d’or elle perça la langue, Et sur les Rostres sourds fit clouer les deux mains Qui répandaient le geste et le verbe aux Romains ! Ainsi mourut, au site où se plaisait sa vie, La gloire des Romains, l’ennemi de Fulvie !

393. (1864) William Shakespeare « Deuxième partie — Livre V. Les esprits et les masses »

. — Ô romains, disait Tertullien, nous sommes des hommes justes, bienveillants, pensifs, lettrés, honnêtes. […] Cependant, ô romains !

394. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Troisième partie — Section 4, de l’art ou de la musique poëtique, de la mélopée. Qu’il y avoit une mélopée qui n’étoit pas un chant musical, quoiqu’elle s’écrivît en notes » pp. 54-83

Qu’il y avoit une mélopée qui n’étoit pas un chant musical, quoiqu’elle s’écrivît en notes On a vû par l’énumeration et par la définition des arts musicaux, que la musique poëtique, prise dans toute son étenduë, ne faisoit qu’un seul et même art parmi les grecs, mais que parmi les romains elle faisoit deux arts distincts, sçavoir l’art de composer des vers métriques de toute sorte de figure, et la mélopée ou l’art de composer la mélodie. […] Ce qu’écrit Isidore dans ses origines sur les dix accens des romains ne supplée pas au traité de Priscien qui nous manque.

395. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « IX. L’abbé Mitraud »

… Tous ces haïsseurs de la vieille Église romaine se sont pris de je ne sais quel goût, — ou plutôt d’un goût que je m’explique très bien, — pour un livre qui a la prétention d’être un livre de science sociale en restant du christianisme. […] ) à son catholicisme romain.

/ 1458