Par malheur, Bertrand ne composa pas en ce moment assez de vers de la même couleur et de la même saison pour les réunir en volume ; mécontent de lui et difficile, il retouchait perpétuellement ceux de la veille ; il se créait plus d’entraves peut-être que la poésie rimée n’en peut supporter.
Mais je suis convaincu que ce volume sera, pour les intéressés d’art, une heureuse surprise.
Goudeau les a réunies en trois volumes intitulés : Fleurs du bitume, Poèmes ironiques et la Revanche des bêtes.
Philippe Gille La Muse qui trotte, ce titre alerte et léger, est celui d’un volume de poésies de M.
Le roi de la contrée est Phlemmar, centième du nom, sa femme, la délicieuse reine Crédulie, leur premier ministre, Domito… Et si vous voulez savoir comment Métapanta, fils de Gupor, président d’une république voisine, — celle de Négocie, — et mari d’Ingénie, fille du grand savant Rhadinouard, s’y prit, pour embêter les tranquilles Lazuliens, et à un tel point, que les Négociens veulent conquérir leur pays, vous n’avez qu’à lire le volume.
Ce volume donne : d’abord de sévères poèmes antiques, puis des rêves intimes, des notations philosophiques ; — puis une seconde série où se retrouveront les mêmes inspirations, mais exprimées avec moins de rigidité et d’heureux manquements aux règles surannées (et même ridicules) de la poésie classico-romantique, — règles faites pour une langue dont la prononciation a varié.
Brumoy s’est exercé aussi dans l’Histoire, & nous croyons pouvoir assurer, d’après la lecture des onzieme & douzieme volumes de l’Histoire de l’Eglise Gallicane & de quelques autres morceaux historiques de sa façon, que ce n’étoit pas là son talent le plus décidé.
Les volumes qui sont de lui, fourmillent de ces traits d’esprit & d’enjouement, qu’il savoit répandre dans toutes ses Productions.
Les volumes qui sont de lui, offrent une variété si étonnante de matieres, qu’on a peine à se persuader qu’un seul homme ait pu y suffire.
Mais ses Sermons, qu’on vient de publier en deux volumes in-12, sont bien loin de justifier & la brillante réputation qu’ils lui ont faite dans le débit, & les éloges que leur ont prodigués les Journalistes depuis qu’ils sont imprimés.
On sait qu'il n'a laissé que huit volumes, & que son travail ne s'étend guere au delà des deux premieres Races de nos Rois.
Le chapitre des métaphores pourrait tenir en vingt lignes, si on ôtait les exemples ; si on y mettait tous les exemples possibles, il demanderait vingt gros volumes.
Nous arrêterons ici ces observations préliminaires qui exigeraient un volume de développements, et auxquelles on ne fera peut-être pas attention ; mais il faut toujours parler comme si l’on devait être entendu, écrire comme si l’on devait être lu, et penser comme si l’on devait être médité.
Table des chapitres et des paragraphes Contenus dans ce second Volume.
A la tête du premier volume, est un précis de la Méthode pour étudier l’Histoire.
Il faut voir l’effet de cette large cravate autour du cou, et de ces deux longs bouts de toile plats, raides, empesés, plissés bien strictement et placés sur le milieu de la poitrine ; le contraste du volume avec cette rangée de petits boutons.
Grâce au concours bienveillant de M. le Gouverneur Clozel, que l’on trouve toujours disposé à favoriser toutes les publications d’ethnographie et de linguistique soudanaises, cette bibliothèque s’enrichit aujourd’hui d’une nouvelle série, due à M. l’administrateur Equilbecq, série dont le présent volume ne forme que le début et dont l’importance ni l’intérêt n’échapperont à personne.
En 1844, le timbre marquait soixante et onze millions de numéros, plusieurs grands et pleins comme des volumes. […] Son premier volume publié, il devint tout d’un coup célèbre. […] D’autre part il traite son esprit comme une mine de charbon, bonne à exploiter vite et le plus lucrativement possible : un volume en un mois, parfois même en quinze jours, et ce volume lui vaut vingt-cinq mille francs. […] Bien pis, il est horriblement long et diffus ; ses conversations, ses descriptions sont interminables ; il veut à toute force remplir ses trois volumes. […] La plupart de ces détails sont tirés de la Biographie de Burns, par Chambers, en quatre volumes.
Là-dessus, comme il est naturel, on se hâte de prendre les vingt volumes de Carlyle, critique, histoire, pamphlets, fantaisies, philosophie ; on les lit avec des émotions fort étranges, et en démentant chaque matin son jugement de la veille. […] Sur la houle sauvage du chaos, dans l’air de plomb, il n’y a que des flamboiements brusques d’éclairs révolutionnaires ; puis rien que les ténèbres, avec les phosphorescences de la philanthropie, ce vain météore ; çà et là un luminaire ecclésiastique qui se balance encore, suspendu à ses vieilles attaches vacillantes, prétendant être encore une lune ou un soleil, — quoique visiblement ce ne soit plus qu’une lanterne chinoise, composée surtout de papier, avec un bout de chandelle qui meurt mal-proprement dans son cœur. » Figurez-vous un volume, vingt volumes composés de tableaux pareils, reliés par des exclamations et des apostrophes ; l’histoire même, son Histoire de la Révolution française, ressemble à un délire. […] We speak of the volume of Nature : and truly a volume it is, — whose author and writer is God. […] It is a volume written in celestial hieroglyphs, in the true Sacred writing ; of which even Prophets are happy that they can read here a line and there a line. […] That Nature is more than some boundless volume of such recipes, or huge, well-nigh inexhaustible domestic cookery-book, of which the whole secret will in this manner one day evolve itself.
Que de fois j’avais feuilleté les deux volumes de La Maison d’un artiste ! […] Dès le lendemain, je me procurai le volume et je le lus. […] Une partie de l’histoire du Symbolisme est liée à cet antique immeuble d’où sortirent les premiers volumes qui portèrent sur leur couverture jaune l’empreinte du caducée. […] J’avais reçu de lui deux curieux petits volumes intitulés Les Minutes de Sable mémorial et César Antéchrist. […] Dans un de ces volumes apparaissait un personnage grotesque et facétieux, une sorte de fantoche ventripotent et cocasse qui répondait au nom cubique de Ubu.
On a en tout, dans les anciennes éditions, sept volumes de ses lettres, publiées en trois recueils consécutifs. Elles ont été dernièrement réimprimées en trois volumes, avec portrait, fac-similé, etc. […] [NdA] Ceux qui sont curieux comme lui peuvent chercher cet Index amplissimus et absolutissimus qui se trouve joint au volume de Riolan, intitulé Opera anatomica (1650), contenant l’Anthropographia et d’autres opuscules.
C’est ce mérite de la particularité et d’une sincérité parfaite que j’ai trouvé dans les deux volumes que je viens de lire, et qui me les a rendus intéressants après tant d’autres qui se sont publiés et qui se publieront encore sur cette grande époque de l’Empire. […] Le fond de ces volumes, et ce qui en fait le sujet principal, est donc l’histoire d’un régiment ; le général duc de Fezensac avait déjà fait avec succès pareille chose pour le sien. […] [NdA] Deux volumes in-8°, avec portrait, fac-similé et cartes spéciales ; chez Didier, quai des Augustins, 35.
Pastoret, firent de lui un professeur de philosophie à la Faculté, en 1811 : une circonstance fortuite, un volume de l’Écossais Reid qu’il trouva sur les quais en bouquinant, le mit sur la voie de la philosophie qu’il adopta dans sa chaire et dont on a fait tant de bruit. […] J’avais supprime d’abord comme faisant longueur, mais j’ajoute ici en manière de post-scriptum mon jugement sur l’historien et sur son livre : « Ces volumes de M. de Viel-Castel, on le voit, m’ont fourni une matière qui n’est pas près de s’épuiser, et sur laquelle j’aurai assez l’occasion de revenir à propos des volumes suivants.
« … Je Suis bien contente d’avoir ici ton volume sur l’Allemagne. […] Je te dirai pourtant que si j’avais là ce volume dont tu me parles, je ne le lirais pas… Je t’ai toujours trouvé ce tort funeste de te jeter au-devant des couteaux. […] En extrayant cette douloureuse correspondance, je me suis souvent rappelé celle d’une autre femme-poète, et dont il a été donné au public des volumes exquis, celle de Mlle Eugénie de Guérin.
Il y a bien de la grandeur dans son volume de 1820 ; il est merveilleusement composé sans le paraître ; le roman s’y glisse dans les intervalles de la religion ; l’Élégie éplorée y soupire près du Cantique déjà éblouissant. […] Rien ne saurait donc être plus achevé en soi que ce premier volume des Méditations. […] Par beaucoup de détails, par le style, par le souffle et l’ampleur des morceaux pris séparément, elles sont souvent supérieures aux premières Méditations ; comme ensemble, comme volume définitif, j’aime mieux les premières.
Parlons donc de ce volume que solennise d’abord au frontispice le nom de M. de Chateaubriand éditeur, parlons-en comme s’il était déjà public : trop heureux si nous hâtions ce moment et si nous provoquions une seconde édition accessible à la juste curiosité de tous lecteurs ! […] Joubert, pour qu’il demeurât à jamais gravé dans l’esprit : il suffît maintenant pour cela, en ouvrant son volume au hasard, d’avoir lu. […] Joubert, a depuis publié (1842), en deux volumes et avec un soin tout à fait pieux, les Pensées plus complètes, plus correctes, et un choix de lettres de son oncle.
Le volume intitulé Recueil de Famille nous le montre, en ces années de ruine, plein de sérénité et de philosophie, adonné aux vertus domestiques, égayant, dès que le grand moment de Terreur fut passé, les tristesses et les misères des êtres chéris qui l’entouraient. […] Ce fut à coup sûr une noble action que de se refuser à quelques instances plus pressantes ; le libraire-éditeur ne lui demandait qu’un quatrième volume qu’il aurait intitulé Empire. […] Une partie se trouve dans les Mélanges, et le reste dans le Recueil de Famille, volume qui n’a eu qu’une demi-publicité.
La postérité, de plus en plus, me paraît ressembler à un voyageur pressé qui fait sa malle, et qui ne peut y faire entrer qu’un petit nombre de volumes choisis. Critique, qui avez l’honneur d’être pour la postérité du moment un nomenclateur, un secrétaire, et s’il se peut, un bibliothécaire de confiance, dites-lui bien vite le titre de ces volumes qui méritent que l’on s’en souvienne et qu’on les lise ; hâtez-vous, le convoi s’apprête, déjà la machine chauffe, la vapeur fume, notre voyageur n’a qu’un instant. […] Et, en effet, le volume d’Œuvres posthumes de Marmontel, publié en 1820, fait voir qu’en décrivant ses pétulances de jeunesse dans sa prose, il les a beaucoup adoucies.
Colnet, dans un petit volume spirituel et gai qu’il a écrit sur les chutes et les rechutes de La Harpe (Correspondance turque), nous l’a ainsi montré à table, en flagrant délit de gourmandise, et s’en repentant pour y retomber tout aussitôt. […] On en eut la preuve lorsqu’en 1804 on le vit publier les quatre volumes de la Correspondance secrète qu’il avait entretenue autrefois avec la cour de Russie, du temps de ce qu’il appelait ses erreurs. […] Ces volumes, en paraissant, firent un bruit épouvantable et eurent un succès à demi scandaleux.
Rodenbach d’avoir précisé en moi un sentiment que je possédais obscurément sans pouvoir le formuler, et de me fournir l’occasion d’une critique d’ensemble, en publiant ce suggestif volume : Les Vies encloses. […] Que vaut pour nous ce volume de vers où vous analysez en des centaines de pages, les phases et les résultats de vos jouissances secrètes ? […] Panizza citer plus haut une phrase empruntée au volume : L’abstinence sexuelle comme nécessité monde, vient d’en faire paraître un second, où son formidable individualisme éclate et resplendit dans toute sa puissance.
Je dois ajouter que la lenteur et le nombre des moyens à l’aide desquels l’auteur prépare son récit ne sont pas les seuls défauts du premier volume. […] C’est là, si je ne m’abuse, l’origine de l’exposition interminable qui remplit le premier volume de Latréaumont. […] C’est donc, et nous ne voulons pas le cacher, avec une curiosité mêlée de crainte, que nous avons ouvert les nouveaux volumes de M. de Chateaubriand. […] Avec cet unique volume, il pouvait se présenter hardiment à l’Académie des inscriptions ; son ambition ne devait pas frapper aux portes de l’Académie française. […] Je sais que cet avis n’est pas celui des amis de l’auteur ; je sais que plusieurs esprits éminents ont vu dans le second volume de ce livre, qui va jusqu’à la mort de Charles Ier, une théorie complète des révolutions, et qu’ils ont même recommandé ce volume comme une recette excellente et infaillible à l’usage des peuples mécontents et décidés à revendiquer leurs droits.
Lisez, pièce à pièce, les quinze volumes de vers qui constituent l’œuvre poétique et demandez-vous ce que chaque pièce veut dire. […] Quant aux moyens pratiques de réaliser ce triple idéal, ils sont les plus simples du monde : il suffit d’écrire beaucoup de romans sociaux en dix volumes. […] Il les a racontées longuement, il leur a consacré plus d’un tiers de son volume, et avec quel enthousiasme il évoque ce temps lointain ! […] Jusqu’à présent, le premier volume de la série a seul paru, mais il constitue une œuvre qui mérite l’attention. […] Broek, ses maisons lavées, ses rues polies et ses arbres peints ne répondaient certainement à aucun des endroits vus en rêve, dont la description aurait rempli un volume.
Quinet et Michelet viennent de réunir en un volume et de publier leurs dernières leçons sous ce titre Des Jésuites.
Armand Silvestre J’ai rarement l’occasion de signaler un volume de vers de la valeur de celui que M.
Maurice Tourneux Toute l’ambition de Chateaubriand tendait alors, a-t-il prétendu, à l’insertion dans l’Almanach des Muses d’une idylle : L’Amour de la campagne, qui parut, en effet, dans le volume de 1790 et où rien, certes, ne trahissait le génie de celui qui l’avait laborieusement rimée.
Albert Samain a publié un autre volume, Aux flancs du vase, suite de poèmes qui offrent l’aspect imagé d’habiles modelages selon le goût antique.
Celui-ci étoit fort jeune lorsqu’il débuta dans les Lettres par la Tragédie de Coligni, & par des Poésies légeres dont il prépare une édition plus digne du Public, que celle qui a paru en trois volumes, & qu’il désavoue.
On a recueilli les Poésies qu’il avoit composées avant l’âge de dix ans, & elles forment un volume in-4°. avec tous les vers qui lui furent adressés.
Les trois gros Volumes qu’il a publiés n’en forment que la premiere partie.
Le Tableau historique des Gens de Lettres, dont il a déjà publié plusieurs volumes, fait désirer qu’il puisse donner à cet Ouvrage toute son étendue.
Ces Mémoires forment six volumes, qu’on eût pu réduire à trois, sans leur rien faire perdre du côté de l’intérêt.
Voyez la note G à la fin du volume.
Quatre époques importantes font la manière et le sujet des quatre volumes que l’on publie, et dans lesquels tous les genres de poésie sont représentés, excepté la poésie dramatique. Le moyen âge, dans tout son développement, jusqu’au xvie siècle où il expire, remplit le premier volume ; le deuxième s’ouvre par Ronsard, lequel est véritablement le poète inaugurateur de la Renaissance classique, et celui qui consomma la rupture avec la tradition du moyen âge, en la remplaçant par la tradition savante. Malherbe ne vient qu’à son rang dans ce volume ; car, s’il opéra une réforme, ce fut Ronsard qui fit la révolution. Boileau, le législateur de la poésie française régulière, préside à la seconde moitié du xviie siècle et à tout le xviii e, qui essaye bien, il est vrai, de se révolter à diverses reprises contre lui : Boileau ouvre donc le troisième volume ; mais le quatrième, qui appartient en entier aux modernes, présente à son frontispice le nom de Lamartine, de qui daté, en effet, le renouvellement de notre muse moderne, son affranchissement éclatant, et par qui la lyre française a pour la première fois trouvé des cordes nouvelles, inouïes, inaudita prius… Ces quatre divisions qui avaient, comme on voit, leur raison dans la nature des choses, ont dû être traitées un peu diversement.
À cet égard un grand poëme, un beau roman, les confessions d’un homme supérieur sont plus instructifs qu’un monceau d’historiens et d’histoires ; je donnerais cinquante volumes de chartes et cent volumes de pièces diplomatiques pour les mémoires de Cellini, pour les lettres de saint Paul, pour les propos de table de Luther ou les comédies d’Aristophane. […] Consulter, pour voir cette échelle d’effets coordonnés : Renan, Langues sémitiques, 1er chapitre. — Mommsen, Comparaison des civilisations grecque et romaine, 2e chapitre, 1er volume, 3e édition […] — Tocqueville, Conséquences de la démocratie en Amérique, 3e volume.
L’aimable auteur du Mal et du bien qu’on a dit des femmes a voulu consoler ce dernier tiers, auquel se joint tout ce qu’il y a de lettré en France, et il a publié intégralement, en deux volumes, ses leçons du Collège de France sur le théâtre de Racine. […] Le volume dût-il être mince, il serait exquis : au lieu que ces deux volumes semblent un peu trop écrits pour l’agrément des gens du monde. […] Il y a dans les deux volumes de vulgarisation élégante qui reproduisent le cours de M.
Dans leur ensemble, les Poèmes saturniens (comme beaucoup d’autres recueils de vers de la même époque) sont tout simplement le premier volume d’un poète qui a fréquenté chez Leconte de Lisle et qui a lu Baudelaire. […] Verlaine, et plus nombreuses d’un volume à l’autre. […] Il reparaît donc avec un volume de vers, Sagesse, qu’il publie chez Victor Palmé, l’éditeur des prêtres. […] Voir, dans ce volume, l’article sur M.
Sainte-Beuve a ta lettre et m’en a bien récompensée par des poésies et par le soin religieux qu’il va prendre d’émonder un volume pour M. […] Il m’a donné son premier volume de la Révolution française », etc., etc… Mon Dieu ! […] » — « Je suis très contente d’avoir ici ton volume sur l’Allemagne. […] Je songe avec plaisir que, en se livrant à ce badinage presque savant, la jeune Mme Langlais se revoyait dans le pensionnat de la rue de Chaillot, le front penché auprès de celui de Joseph Delorme, sur un volume d’Horace.
Toujours prosateur, mais pour cela n’éteignant pas en lui la poésie, Alphonse Daudet a publié en volume les Lettres de mon moulin, qui nous donnèrent une sensation si neuve quand nous les lûmes dans Le Figaro. Le titre de ce volume en dit plus la forme générale que le fond. […] Mais je demande pourtant que dans un livre qui a deux volumes l’impression s’interrompe un instant, si elle est douloureuse. […] XI Ce roman — on l’a dit, et il y a une note à la fin du volume qui répond à ce bruit, — a été inspiré par des aventures vraies.
Faugère et les inconnus qu’il représente, que ces deux volumes devront s’ajouter désormais à la trentaine de volumes originaux et historiques qu’il suffit à l’homme de goût et au curieux raisonnable d’avoir dans sa bibliothèque, s’il veut connaître son Port-Roval très honnêtement et par le bon côté, par le côté moral, sans entrer dans la polémique et la théologie : c’était à peu près le chiffre auquel M.
[NdA] Les deux premiers volumes en vente chez Michel Lévy, rue Vivienne, 2 bis. […] [NdA] Une petite querelle que je veux faire à M. de Viel-Castel, et qui retombe en partie sur son imprimeur, c’est de ne pas soigner les noms propres ; ils sont véritablement trop maltraités et en trop d’endroits de ces deux premiers volumes.